>8 Forte performance |
Pas de lycée |
Carte Immobilier | Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt | Comparé aux communes voisines | |
Taxe habitation | 14 % | 17 % | |
Taxe foncière (yc TEOM) | 57 % | 46 % | |
Logement social HLM | 9 % | 4 % | |
Propriétaires (vs. locataires) | 70 % | 71 % | |
Résidences secondaires | 5 % | 9 % | |
Ancienneté du logement | 1966 | 1962 | |
Logements vacants | 8 % | 9 % | |
Absence de chauffage central | 29 % | 22 % | |
Petites surfaces (<40 m2) | 5 % | 3 % | |
Cotisation Foncière des Entreprises | ND | 0 % | |
Taxe professionnelle | 29 % | 27 % | |
Densité de logements | 1 log./ha | 4 log./ha | |
Type de maison | Maisons récentes | NA |
Carte Habitants | Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt | Comparé aux communes voisines | |
Revenu moyen | 23500 euros | 23800 euros | |
Chômage | 11 % | 12 % | |
Age moyen | 47 ans | 44 ans | |
Densité de population | 130 hab/km² | 660 hab/km² | |
Croissance démographique | 8 % | 1 % | |
Enfants et adolescents | 21 % | 23 % | |
Transport vers lieu de travail | 90 % | 87 % | |
Bacheliers | 30 % | 32 % | |
Lieu de travail | 34 % | 29 % | |
Taux de fécondité | 10 % | 10 % | |
Rentes, retraites, etc. | 12300 euros | 10200 euros | |
Ménages imposés | 49 % | 43 % | |
Personnes âgées | 34 % | 29 % | |
Cadres | 36 % | 41 % | |
Employés et ouvriers | 64 % | 59 % | |
Retraités | 36 % | 30 % | |
Taille moyenne des ménages | 2,3 hab./ménage | 2,4 hab./ménage |
Carte Environnement | Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt | Comparé aux communes voisines | |
Transports publics | 0 tran./km² | 0,1 tran./km² | |
Précipitations annuelles | 718 mm par an | 715 mm par an | |
Ensoleillement annuel | 2072 heures par an | 2073 heures par an | |
Equipements sportifs | 5,8 équip./km² | 6,3 équip./km² | |
Distance à l'aéroport | 0,3 km | 3,1 km | |
Distance centrale nucléaire | 53 km | 55,6 km | |
Espaces verts | 91 % | 87 % | |
Ville et villages fleuris | Aucune fleur | NA | |
Utilisation de la voiture | 12 % | 12 % | |
Type de quartier | Personnes âgées isolées | NA | |
Type de paysage | Espace agricole | NA |
Carte Education | Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt | Comparé aux communes voisines | |
Crèches, écoles et lycées | 1,2 étab./km² | 4,2 étab./km² | |
Résultats des lycées | NA | 80 % | |
Sélectivité des lycées | NA | 0 | |
Valeur ajoutée des lycées | NA | -7 |
Carte Commerces et établissements | Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt | Comparé aux communes voisines | |
Bars, cafés et restaurants | 0,1 tous les 100m | 0,2 tous les 100m | |
Commerces | 0,5 tous les 100m | 1,1 tous les 100m | |
Médecins généralistes | 1300 hab./généraliste | 1100 hab./généraliste | |
Capacité d'accueil touristique | 131 lits/km² | 112,7 lits/km² | |
Type de commerce et animation | Commerces locaux et indépendants | NA | |
Croissance du nombre total d'établissements | 33 % | 39 % |
Carte Politique | Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt | Comparé aux communes voisines | |
Etiquette politique du maire | Jacques REIX (2014) | NA | |
François Hollande 2e tour 2012 | 55,7 % | 53,3 % | |
Rapport de force Gauche-Droite | 48,8 % | 47,4 % | |
Nicolas Sarkozy 1e tour 2012 | 23 % | 24,6 % | |
François Hollande 1e tour 2012 | 29,1 % | 29 % | |
Marine Le Pen 1e tour 2012 | 22,2 % | 21,5 % | |
Jean-Luc Mélenchon 1e tour 2012 | 11,5 % | 10,6 % | |
François Bayrou 1e tour 2012 | 8,3 % | 8,2 % | |
Eva Joly 1e tour 2012 | 2,3 % | 2 % | |
Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012 | 1,7 % | 2,1 % | |
Philippe Poutou 1e tour 2012 | 1,5 % | 1,5 % | |
Taux d'abstention 1e tour 2012 | 15,2 % | 17,2 % | |
Nicolas Sarkozy 2e tour 2012 | 44,3 % | 46,7 % |
Intermarché / Parking
Ecole maternelle / Ecole primaire
Port Ste Foy et Ponchapt / E. Leclerc / Intermarché / Lidl
Aerodrome Municipal Sainte Foy la Grande & Cercle Velivole Foyen / Aire de Loisirs / Club Nautique Aviron / Complexe sportif de Mezieres Pierre Lart / Agorespace / Centre Equestre "Free Ride" / Boulodrome / Itineraire de Randonnee / Tennis Club / Salle de Tennis de Table / Boucle de Randonnee / Le Quais de Ste Foy
Bibliothèque / Cinq mosaïques gallo-romaines / Château de Fauga
Pharmacie
Les Petits Loups / Multi-accueil les P'tits Loups
Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt
Avant la création de la bastide, un petit port d’origine romaine dénommé Fozera présente de nombreux atouts stratégiques et économiques qui vont séduire le prince Edouard, fils du roi d’Angleterre Henri III. En 1270, le prince demande à un gentilhomme anglais, Roger de Leyburn, sénéchal de Guyenne, d’y fonder une bastide. Cette ville nouvelle portera successivement le nom de Leybornie, Leybornia, Leyburna, Leyburn, Liburnia et enfin Libourne. Dès le mois de septembre 1270, le prince Edouard accorde une charte de franchises aux nouveaux habitants. Outre l’exemption de certains impôts et redevances, leurs obligations militaires sont limitées au territoire couvrant les diocèses de Bordeaux et de Bazas. L’administration de la bastide est confiée à douze jurats élus chaque année le jour de la Sainte-Madeleine. La bastide qui s’enferme dans un corset de pierre, se présente sous la forme d’un polygone irrégulier de grandes dimensions : 800 mètres du Nord au Sud et 600 d’Est en Ouest. Des remparts s’élèvent rapidement, bâtis avec les pierres apportées par les navires qui viennent mouiller le long des rives. Hérissés de tours massives, ils sont percés de plusieurs portes dont quatre principales, s’ouvrant comme dans toutes les bastides, aux extrémités des grands axes de la ville. Située à la confluence de l’Isle et de la Dordogne, deux voies de communication naturelles navigables en toutes saisons, aux portes de l’estuaire de la Gironde et de l’océan atlantique, la bastide de Libourne a bénéficié tout au long de son histoire d’une vocation portuaire. Elle centralisait les produits venus du Haut Pays par la Dordogne et son affluent l’Isle, s’ouvrait vers le port de Bordeaux et des terres plus lointaines notamment la Bretagne, la Hollande, les pays scandinaves et les îles britanniques. Soumise à l’influence de la marée avec un marnage (différence entre le point le plus haut et le point le plus bas), d’environ 4,50 m, la Dordogne dans le bassin libournais est classée maritime. Dès la fin du XVIIe siècle, chaque automne, des navires hollandais, lestés de sable et sans fret, remontaient la Dordogne jusqu’à Libourne, uniquement pour venir charger du vin parvenu par gabare depuis Domme, Bergerac, Sainte-Foy, Castillon et Branne. Ce trafic ne rapportait guère à la ville, si ce n’était le droit d’ancrage des navires. Les négociants libournais considéraient avec mépris ce vin venu du haut pays qu’ils appelaient dédaigneusement la vinatrie. Les navires hollandais embarquaient aussi châtaignes, noix, prunes sèches, graines de lin, planches de noyer, ce qui était très bénéfique pour les bateliers de la haute Dordogne. D’octobre 1686 à septembre 1687, les registres de l’Amirauté indiquent 82 navires chargés à Libourne. Un problème se posait régulièrement dans le port de Libourne, celui du délestage des bateaux. Arrivant souvent sans fret, directement, pour embarquer du vin, ils devaient, pour tenir la mer, être lestés d’un bon tiers, sinon la moitié de leur tonnage total. Ceux provenant d’une côte rocheuse comme l’Angleterre, apportaient des pierres qui étaient les bienvenues pour paver les rues, réparer les remparts et les quais. Mais beaucoup étaient lestés de sable, tels les bateaux hollandais, qui arrivaient par dizaines, chaque automne. Ce sable, il fallait le débarquer et le déposer en lieu sûr selon la réglementation établie par les Jurats libournais. Certains capitaines, peu scrupuleux, tournaient la difficulté en jetant le sable dans la rivière, soit avant d’arriver à Libourne, soit dans le port même, avec la satisfaction de faire une appréciable économie, et de temps et d’argent. Mais ce trafic n’était pas essentiellement viticole. Navires bretons et saintongeais venaient régulièrement apporter des cargaisons de sel qui étaient ensuite stockées dans les salinières de la ville. Le sel était ensuite acheminé par gabare vers les ports du Périgord et du Quercy. A la fin du XVIIe siècle, un important commerce de tuiles fabriquées en Libournais existait avec les ports de La Rochelle, Oléron, Marennes et Rochefort. Les canons et bombes produits par les forges du Périgord parvenaient aussi par gabares fluviales jusqu’à Libourne pour être transbordées sur des navires caboteurs à destination de la base royale de Rochefort. De 1682 à 1699, on peut ainsi relever quarante de ces chargements, qui continueront d’ailleurs dans toutes lers premières années du siècle suivant (1702-1704), de façon assez importante. Au XVIIIe siècle, Libourne exportait des vins dans les ports de toute la façade atlantique du royaume, de La Rochelle jusqu’à Dunkerque. En échange, des bateaux bretons apportaient seigle, froment et fèves. Au XIXe siècle, bricks, goëlettes et dundees, tous navires de haute mer, venaient s’amarrer par couples entre Souchet et Fronsac, important notamment des bois de Norvège pour la construction. Au XIXème siècle, bricks, goélettes et dundees, tous navires de haute mer, venaient s’amarrer par couples entre Souchet et Fronsac, important des bois de Norvège destinés à la construction. La Statistique de la navigation intérieure pour l’année 1890 précise le mouvement des transports fluviaux entre Libourne et le Bec d’Ambès (descente et remonte) : 3 635 bateaux, 190 347 tonnes, dont 96 805 en produits agricoles et denrées alimentaires, 32 535 en engrais et amendements, 27 403 en matériaux de construction et en minéraux, 16 585 en bois à brûler et bois de service, 5 885 en combustibles minéraux, 3 515 en produits industriels, 6 076 divers… Au début du XXe siècle, d’importantes cargaisons de charbon et de pétrole en fûts transitaient par le port de Libourne avant d’être acheminées par gabares à destination des ports de la moyenne Dordogne et de la vallée de L’Isle. En 1920, grâce à la construction d’un appontement de bois, le commerce maritime continua avec des importations d’engrais et de sulfate. En contre partie, le port de Libourne exportait des poteaux de mines et des traverses de chemin de fer. Ce trafic se poursuivit jusque dans les années 1960 grâce au cabotage fluvio-maritime. De nos jours, les paquebots de croisière ont pris la relève des anciens bateaux de transport. The post [21-22/09] Journées Européennes du Patrimoine – Musée de la Dordogne batelière first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.MUSÉE DE PORT-SAINTE-FOY
Journées Européennes du Patrimoine :
21 & 22 septembre Images du port de Libourne d’hier et d’aujourd’hui
Plus d’informations (contacts/horaires) :
Site officiel du Musée de la Dordogne batelière
The post Journées Européennes du Patrimoine – Moulins de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.« Chroniques intemporelles »
À l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, Jacques REIX vous invite à partager ses recherches et sa documentation sur les moulins de la commune.
Avant la création de la bastide, un petit port d’origine romaine dénommé Fozera présente de nombreux atouts stratégiques et économiques qui vont séduire le prince Edouard, fils du roi d’Angleterre Henri III. En 1270, le prince demande à un gentilhomme anglais, Roger de Leyburn, sénéchal de Guyenne, d’y fonder une bastide. Cette ville nouvelle portera successivement le nom de Leybornie, Leybornia, Leyburna, Leyburn, Liburnia et enfin Libourne. Dès le mois de septembre 1270, le prince Edouard accorde une charte de franchises aux nouveaux habitants. Outre l’exemption de certains impôts et redevances, leurs obligations militaires sont limitées au territoire couvrant les diocèses de Bordeaux et de Bazas. L’administration de la bastide est confiée à douze jurats élus chaque année le jour de la Sainte-Madeleine. La bastide qui s’enferme dans un corset de pierre, se présente sous la forme d’un polygone irrégulier de grandes dimensions : 800 mètres du Nord au Sud et 600 d’Est en Ouest. Des remparts s’élèvent rapidement, bâtis avec les pierres apportées par les navires qui viennent mouiller le long des rives. Hérissés de tours massives, ils sont percés de plusieurs portes dont quatre principales, s’ouvrant comme dans toutes les bastides, aux extrémités des grands axes de la ville. Située à la confluence de l’Isle et de la Dordogne, deux voies de communication naturelles navigables en toutes saisons, aux portes de l’estuaire de la Gironde et de l’océan atlantique, la bastide de Libourne a bénéficié tout au long de son histoire d’une vocation portuaire. Elle centralisait les produits venus du Haut Pays par la Dordogne et son affluent l’Isle, s’ouvrait vers le port de Bordeaux et des terres plus lointaines notamment la Bretagne, la Hollande, les pays scandinaves et les îles britanniques. Soumise à l’influence de la marée avec un marnage (différence entre le point le plus haut et le point le plus bas), d’environ 4,50 m, la Dordogne dans le bassin libournais est classée maritime. Dès la fin du XVIIe siècle, chaque automne, des navires hollandais, lestés de sable et sans fret, remontaient la Dordogne jusqu’à Libourne, uniquement pour venir charger du vin parvenu par gabare depuis Domme, Bergerac, Sainte-Foy, Castillon et Branne. Ce trafic ne rapportait guère à la ville, si ce n’était le droit d’ancrage des navires. Les négociants libournais considéraient avec mépris ce vin venu du haut pays qu’ils appelaient dédaigneusement la vinatrie. Les navires hollandais embarquaient aussi châtaignes, noix, prunes sèches, graines de lin, planches de noyer, ce qui était très bénéfique pour les bateliers de la haute Dordogne. D’octobre 1686 à septembre 1687, les registres de l’Amirauté indiquent 82 navires chargés à Libourne. Un problème se posait régulièrement dans le port de Libourne, celui du délestage des bateaux. Arrivant souvent sans fret, directement, pour embarquer du vin, ils devaient, pour tenir la mer, être lestés d’un bon tiers, sinon la moitié de leur tonnage total. Ceux provenant d’une côte rocheuse comme l’Angleterre, apportaient des pierres qui étaient les bienvenues pour paver les rues, réparer les remparts et les quais. Mais beaucoup étaient lestés de sable, tels les bateaux hollandais, qui arrivaient par dizaines, chaque automne. Ce sable, il fallait le débarquer et le déposer en lieu sûr selon la réglementation établie par les Jurats libournais. Certains capitaines, peu scrupuleux, tournaient la difficulté en jetant le sable dans la rivière, soit avant d’arriver à Libourne, soit dans le port même, avec la satisfaction de faire une appréciable économie, et de temps et d’argent. Mais ce trafic n’était pas essentiellement viticole. Navires bretons et saintongeais venaient régulièrement apporter des cargaisons de sel qui étaient ensuite stockées dans les salinières de la ville. Le sel était ensuite acheminé par gabare vers les ports du Périgord et du Quercy. A la fin du XVIIe siècle, un important commerce de tuiles fabriquées en Libournais existait avec les ports de La Rochelle, Oléron, Marennes et Rochefort. Les canons et bombes produits par les forges du Périgord parvenaient aussi par gabares fluviales jusqu’à Libourne pour être transbordées sur des navires caboteurs à destination de la base royale de Rochefort. De 1682 à 1699, on peut ainsi relever quarante de ces chargements, qui continueront d’ailleurs dans toutes lers premières années du siècle suivant (1702-1704), de façon assez importante. Au XVIIIe siècle, Libourne exportait des vins dans les ports de toute la façade atlantique du royaume, de La Rochelle jusqu’à Dunkerque. En échange, des bateaux bretons apportaient seigle, froment et fèves. Au XIXe siècle, bricks, goëlettes et dundees, tous navires de haute mer, venaient s’amarrer par couples entre Souchet et Fronsac, important notamment des bois de Norvège pour la construction. Au XIXème siècle, bricks, goélettes et dundees, tous navires de haute mer, venaient s’amarrer par couples entre Souchet et Fronsac, important des bois de Norvège destinés à la construction. La Statistique de la navigation intérieure pour l’année 1890 précise le mouvement des transports fluviaux entre Libourne et le Bec d’Ambès (descente et remonte) : 3 635 bateaux, 190 347 tonnes, dont 96 805 en produits agricoles et denrées alimentaires, 32 535 en engrais et amendements, 27 403 en matériaux de construction et en minéraux, 16 585 en bois à brûler et bois de service, 5 885 en combustibles minéraux, 3 515 en produits industriels, 6 076 divers… Au début du XXe siècle, d’importantes cargaisons de charbon et de pétrole en fûts transitaient par le port de Libourne avant d’être acheminées par gabares à destination des ports de la moyenne Dordogne et de la vallée de L’Isle. En 1920, grâce à la construction d’un appontement de bois, le commerce maritime continua avec des importations d’engrais et de sulfate. En contre partie, le port de Libourne exportait des poteaux de mines et des traverses de chemin de fer. Ce trafic se poursuivit jusque dans les années 1960 grâce au cabotage fluvio-maritime. De nos jours, les paquebots de croisière ont pris la relève des anciens bateaux de transport. The post [21-22/09] Journées Européennes du Patrimoine – Musée de la Dordogne batelière first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.MUSÉE DE PORT-SAINTE-FOY
Journées Européennes du Patrimoine :
21 & 22 septembre Images du port de Libourne d’hier et d’aujourd’hui
Plus d’informations (contacts/horaires) :
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À l’occasion des Journées Européennes du Patrimoine, Jacques REIX vous invite à partager ses recherches et sa documentation sur les moulins de la commune.
12 & 13 octobre The post [12>13/10] Fête d’Automne first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.Fête d’Automne
Ponchapt
The post Ordre du jour du prochain Conseil Municipal first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
Une très forte collaboration née et devient une amitié fraternelle entre Marc et Christian LAJUS, professeur de l’école de batterie. Marc était toujours présent, une personne adorable, la main sur le c½ur, prêt à rendre service. Il donnait confiance. Que de souvenirs passés, de bonheur et de doutes ! Pendant toutes ces années, il a présidé une école reconnue avec plusieurs élèves professionnels, le festival Batkiff, des créations de groupes avec l’enregistrement d’albums et le suivi d’artistes. Marc va nous manquer ! Grâce à lui, des projets, des rêves ont pu se réaliser. Marc restera une personne inoubliable pour le Pays Foyen et le Vélinois.
The post Marc PASQUON, Président de l’association Les Batteurs Rient, vient de nous quitter first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.Marc PASQUON, Président de l’association
Les Batteurs Rient, vient de nous quitter.
The post [19-10] Soirée Tango – Concert « Duo Abrazo » – Initiation Tango – Milonga first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.Soirée tango
19 octobre 2024
(avec piste de danse) suivi de
– Initiation au tango argentin
avec l’association Ribambelle,
– et Milonga avec DJ Pierre Billetterie en ligne « HelloAsso » :
Le 8 septembre 1997, treize personnes perdaient la vie, des dizaines d’autres étaient grièvement blessées dans la catastrophe ferroviaire qui venait d’avoir lieu au passage à niveau de l’avenue de Bordeaux. Certaines d’entre elles n’ont pas survécu à leurs blessures. Ce malheur a bouleversé la vie de nombreuses familles. Vingt sept années ont passé et les mots ne peuvent effacer cette indicible réalité. A la mémoire des victimes, de leurs familles et de nos amis cheminots cruellement frappés dans cette catastrophe, une cérémonie du souvenir s’est déroulée devant la stèle du souvenir en présence des familles, de M. le Sous-Préfet de Bergerac, du Maire de Port-Ste-Foy-et-Ponchapt, des représentants de la SNCF et des élus régionaux, départementaux et communaux. Les familles avaient souhaité que cette cérémonie du souvenir se déroule dans la simplicité. Nous avons toujours respecté leur volonté et nous continuerons à le faire à l’avenir a conclu Jacques Reix, maire de la commune, au côté de son collègue Thierry Auroy-Peytout, maire de Lamonzie-Saint-Martin et chef de gare représentant les cheminots. The post Accident ferroviaire : Pour ne pas oublier ! first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.Accident ferroviaire : Pour ne pas oublier !
Journées Européennes du Patrimoine Dimanche 22 septembre Office de Tourisme du Pays Foyen The post [21>22/09] Randonnées – Journées Européennes du Patrimoine first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.Randonnées
21 & 22 septembre 2024
Randonnée pédestre conduite par l’association “Entre Moulins et Rivière” sur le circuit des 2 moulins à Port-Sainte-Foy.
Départ place du 8 mai 1945 à Port-Sainte-Foy à 13h30 – retour 17h00.
4km jusqu’au moulin de la Ferraille et 10km jusqu’au moulin de la Rouquette.
Randonnée pédestre de 6.5km conduite par l’association “Patrimoine et chemins Andrésiens”.
Départ 9h30 de la place de l’église du village de Saint-André-et-Appelles.
00 30 64 75 50
https://www.tourisme-dordogne-paysfoyen.com
Organisation : Club de Canoë Kayak de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt The post [06/10] Aventur’Ose first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.Aventur’Ose
6 octobre 2024
8h00 – 18h00
Rentrée scolaire 2024
The post Photographies – Rentrée scolaire 2024 first appeared on Mairie de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt.
Communes : Le Fleix , Fougueyrolles , Monfaucon , Saint-Antoine-de-Breuilh , Saint-Méard-de-Gurçon , Eynesse , Pineuilh , Saint-André-et-Appelles , Saint-Avit-Saint-Nazaire , Sainte-Foy-la-Grande