CARTES

AVIS

  • › Quartier recommandé
    •  Oui
    •  Non

Transports

  • › Transports en commun
    •  Très bien desservi. Proche de tout.
    •  Bien desservi.
    •  Correctement desservi.
    •  Mal desservi.
    •  Très mal desservi. Loin de tout.
  • › Circulation routière
    •  Circulation très agréable. Jamais de bouchons.
    •  Circulation facile et agréable.
    •  Circulation praticable.
    •  Circulation chargée.
    •  Circulation dangereuse. Bouchons quotidiens.
  • › Stationnement
    •  Stationnement souvent libre et ample.
    •  Il y a toujours une place dans la rue.
    •  On trouve une place facilement et pas trop loin.
    •  Difficile de trouver une place.
    •  Un cauchemar pour se stationner. Il manque cruellement de places de stationnement.

Cadre de vie

  • › Sécurité
    •  Je m’y sens en sécurité à toute heure du jour et de la nuit.
    •  Le quartier est sûr.
    •  Je n'ai pas eu connaissance de problèmes de sécurité. Le lieu me semble sûr.
    •  Un peu d'insécurité. Quelques incivilités ou manque d'éclairage public.
    •  Je ne m'y sens pas en sécurité. Le manque de sécurité est un problème préoccupant.
  • › Tranquilité de la rue
    •  Tranquilité absolue. On se croirait dans un temple bouddhiste.
    •  Il arrive de façon très exceptionnelle qu'il y ait du bruit.
    •  Peu de bruit provenant de la rue et de la circulation.
    •  Souvent bruyant.
    •  Très bruyant. Le chantier continuel.
  • › Qualité de l'air
    •  L'air est frais et sain. Comme en haute montagne.
    •  Bonne qualité de l'air.
    •  Qualité correcte de l'air.
    •  L'air est pollué.
    •  L'air est très pollué limite irrespirable
  • › Propreté et mobilier urbain
    •  Environnement exceptionnel. Une vraie carte postale.
    •  Environnement propre et bien entretenu.
    •  Environnement correctement entretenu.
    •  Environnement dégradé et pas assez entretenu.
    •  Environnement pourri et délabré.
  • › Voisins et habitants
    •  Voisins ou habitants sympathiques et chaleureux. Entraide régulière.
    •  Bonne entente avec les voisins ou les habitants. Entraide occasionnelle.
    •  Contacts cordiaux avec les voisins ou les habitants.
    •  Pas de contacts avec les voisins et les habitants. Anonymat complet.
    •  Voisins ou habitants agressifs et méchants.
  • › Réputation du quartier
    •  Tout le monde rêve de vivre ici.
    •  Beaucoup de bien en est dit.
    •  Connu ni en bien ni en mal.
    •  Image dégradée du lieu.
    •  Personne ne veut vivre ici.

Loisirs et commerces

  • › Culture ou sport
    •  Je sors systématiquement dans le quartier à pied.
    •  Je sors souvent dans le quartier.
    •  Je sors aussi souvent dans le quartier que dans un autre quartier.
    •  Je sors souvent dans un autre quartier.
    •  Rien à faire! Je sors systématiquement dans un autre quartier.
  • › Espaces verts et verdure
    •  La végétation est omniprésente. Le quartier est un jardin à lui tout seul.
    •  Les rues sont bordées d'arbres. Un vrai parc où aller courir.
    •  De la végétation un peu partout.
    •  Quelques arbres. Beaucoup de béton et d'infrastructures.
    •  Absence totale de végétation. Au mieux des pots de fleurs sur les balcons.
  • › Commerce alimentaire
    •  Je fais systématiquement mes courses à pied.
    •  Je fais souvent mes courses à pied.
    •  Je fais uniquement mes achats de dépannage à pied.
    •  Je fais souvent mes courses en voiture.
    •  Je fais systématiquement mes courses en voiture.
  • › Restaurants, cafés et bars
    •  Je sors systématiquement dans le quartier à pied.
    •  Je sors souvent dans le quartier.
    •  Je sors aussi souvent dans le quartier que dans un autre quartier.
    •  Je sors souvent dans un autre quartier.
    •  La zone! Je sors systématiquement dans un autre quartier.
  • › Prix des magasins
    •  Prix très bons marchés.
    •  Prix bons marchés.
    •  Prix corrects.
    •  Prix élevés.
    •  Hors de prix.

INFOS LOCALES

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Commune : Blois / Quartier : Est
Carte : Politique - Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012

Blois - Est

Titre img
Est est un quartier calme de la commune de Blois (41000). Les 8430 habitants sont en majorité des couples et célibataires. Ils sont plutôt locataires de leur logement (56 %) et ont des revenus moyens (25500 euros par ménage). Le quartier est très ...
Titre img
Est est un quartier calme de la commune de Blois (41000). Les 8430 habitants sont en majorité des couples et célibataires. Ils sont plutôt locataires de leur logement (56 %) et ont des revenus moyens (25500 euros par ménage). Le quartier est très calme (0,1 restaurants, cafés et bars tous les 100m) et il y a des commerçants (0,5 tous les 100m).
La taxe d'habitation, payée par l'occupant locataire ou propriétaire, est très élevée (27 %) et la taxe foncière y compris ordures ménagères est moyennement élevée (37 %). Le maire est Marc GRICOURT.
Le bruit peut être un souci car il y a du trafic aérien très proche : Blois (hélistation) à 0,1 km.
Le climat est très sec (665 mm par an) et moyennement ensoleillé (1945 heures par an). La commune est fleurie et a reçu le label 'Villes et Villages Fleuris' avec quatre fleurs (sur quatre).

Les points clés du quartier

Revenu moyen
25500 euros
Crèches, écoles et lycées
2,5 étab./km²
Taxe habitation
30 %
Commerces
0,5 tous les 100m
Logement social HLM
19 %
Type de quartier
Calme
Défaut (© Kel Quartier)
Défaut (© Kel Quartier)
Défaut (© Kel Quartier)
Défaut (© Kel Quartier)
Défaut (© Kel Quartier)
Défaut (© Kel Quartier)
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Les avis des habitants du quartier

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Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012

Part des votes exprimés à l'élection présidentielle 2012 à la commune
                       
>4%
Très élevé
<0,5
Très faible
Source : Ministère de l'Intérieur 2012, non validé par le conseil constitutionnel

Immobilier - Blois - Est

Carte Immobilier Est Comparé à la commune Blois
Taxe habitation 30 % 30 %
Taxe foncière (yc TEOM) 45 % 45 %
Logement social HLM 19 % 33 %
Propriétaires (vs. locataires) 44 % 38 %
Résidences secondaires 2 % 2 %
Ancienneté du logement 1967 1965
Logements vacants 11 % 12 %
Absence de chauffage central 14 % 19 %
Petites surfaces (<40 m2) 10 % 15 %
Cotisation Foncière des Entreprises 25 % 25 %
Taxe professionnelle 29 % 29 %
Densité de logements 8 log./ha 7 log./ha
Type de maison Appartements et maisons de ville   NA

Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Dupond-Aignan a obtenu au 1e tour 2012 1,6 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition : Part des votes exprimés à l'élection présidentielle 2012 à la commune - En cours de rédaction

Taxe habitation - Blois - Est. La taxe d'habitation est de 30 %

Bon à savoir : La taxe d'habitation que vous allez payer varie très fortement d'une commune à l'autre et dépend de la situation financière de la commune comme de ses autres recettes notamment auprès des sociétés.
Les plus privilégiés sont les habitants des communes avec de nombreuses sociétés comme Paris et La Défense (Puteaux et Courbevoie) qui récoltent beaucoup avec la CET (anciennement taxe professionnelle) et peuvent se permettre d'avoir une des taxes d'habitation les plus basses de France.
Définition : La taxe d'habitation est un impôt payé en novembre de chaque année par toute personne qui occupait un logement au 1er janvier de l'année.
C'est-à-dire payée par le locataire (même s'il a déménagé depuis) ou à défaut le propriétaire. La taxe d'habitation est le seul impôt directement payé par le locataire car c'est le propriétaire qui paye la taxe foncière et la taxe d'enlèvement sur les ordures ménagères, cette dernière étant normalement incluse dans les charges du locataire.
La taxe d'habitation est calculée en multipliant le taux d'imposition à la valeur locative du bâtiment (qui n'a presque pas bougé depuis 40 ans) moins les abattements.

Taxe foncière (yc TEOM) - Blois - Est. La taxe foncière y compris la taxe d'enlèvement des ordures ménagères est de 45 %

Bon à savoir : Si vous êtes locataire vous n'êtes concerné que par la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM) qui est déjà incluse dans les charges que vous payez chaque mois.
En tant que propriétaire, la taxe foncière que vous allez payer varie très fortement d'une commune à l'autre et dépend de la situation financière de la commune comme de ses autres recettes comme la taxe d'habitation et la CET payé par les sociétés.
Comme pour la taxe d'habitation, les plus privliégiés sont les habitants des communes avec de nombreuses sociétés comme Paris et La Défense (Puteaux et Courbevoie) qui récoltent beaucoup avec la CET (anciennement taxe professionnelle) même si les taux ont très fortement augmenté ses dernières années.
Définition : La taxe foncière est un impôt local réclamé au propriétaire et payé en octobre de chaque année.
L'avis d'imposition de la taxe foncière s'accompagne de la taxe d'enlèvement des ordures ménagères (TEOM) qui à l'inverse de la taxe foncière peut être réintégrée dans les charges du locataire. Cet impôt finance les communes aux côtés de la taxe d'habitation payé par le locataire ou, en cas d'absence de locataire, par le propriétaire et la CET payée par les entreprises.
La taxe est calculée sur la base de la valeur locative du bien et en cas de résidence principale, cette base d'imposition est diminuée d'abattements en fonction de la taille de la famille et de ses revenus.

Logement social HLM - Blois - Est. Le pourcentage d'HLM est de 19 %

Bon à savoir : Le taux d'HLM en France est proche de 20% soit l'équivalent du seuil de mixité social imposé aux grandes communes. La présence d'HLM favorise la mixité sociale qui est un critère apprécié par les Français lorsqu'ils jugent le quartier où ils ont habité.
Néanmoins, il existe de grandes disparités d'une commune à l'autre : certaines communes n'ont aucun HLM alors que d'autres en possèdent une majorité écrasante.
Ces communes semblent souvent une population socialement homogène que certains décideurs n'ont pas hésité à appeler avec controverse des « ghettos de riches » et des « ghettos de pauvres ».
Définition : Une habitation à loyer modéré (HLM) est un logement destiné aux familles de ressources modestes et qui bénéficie d'un financement public.
La France compte 4,5 millions de logements sociaux qui représentent près de la moitié du marché locatif. Les HLM hébergent plus de 12 millions de Français.

Propriétaires (vs. locataires) - Blois - Est. Le pourcentage de propriétaires est de 44 %

Bon à savoir : Une mixité de propriétaires et de locataires est souvent conseillée pour garantir un bon entretien de l'immeuble et est souvent synonyme d'attractivité du quartier.
En effet, plus les propriétaires sont nombreux, plus la probabilité que l'immeuble soit bien entretenu est élevée, les propriétaires étant incités à investir dans leur immeuble afin d'améliorer leur qualité de vie de tous les jours.
A l'inverse, dans les quartiers où on trouve une majorité de locataires, il est souvent reproché aux propriétaires un manque d'entretien des immeubles, le plus visible étant une absence du ravalement de la façade de rue. La logique financière ayant pris le pas sur le bon vivre notamment quand les propriétaires sont des particuliers plus sensibles au court terme et non des institutionnels qui peuvent investir dans la durée.
Attention à ne pas privilégier néanmoins les quartiers qui ne concentrent que des propriétaires souvent synonymes d'isolement et de manque d'attractivité.
Définition : Propriétaires (vs. locataires) correspond au pourcentage de personnes résidant dans le quartieret qui sont propriétaires de leur logement.

Résidences secondaires - Blois - Est. Le pourcentage de résidences secondaires est de 2 %

Bon à savoir : Les résidences secondaires sont particulièrement nombreuses dans les zones touristiques du littoral et en zone rurale. Elles attirent surtout des propriétaires extérieurs à la région souvent franciliens et provenant des départements limitrophes. Un propriétaire occupe sa résidence secondaire en moyenne 7 week-ends par an pour un total de 30 jours par an.
Un fort taux de résidences secondaires montre que la zone est attractive et touristique, que l'économie locale s'organise autour de celle-ci et que la zone animée pendant les périodes estivales (littoral), hivernales (montagne) et pendant les vacances.
A Paris, on trouve très peu de résidences secondaires pour la plupart appartenant à des étrangers notamment dans le Triangle d'Or (Paris 8e) et les îles Saint Louis et de la Cité (Paris 4e). L'augmentation des prix immobiliers de ses dernières années n'est pas donc pas due aux achats de biens immobiliers par les étrangers.
Définition : Les résidences secondaires sont des logements utilisés par leurs propriétaires pour les week-ends, les loisirs et les vacances. Sont également considérées comme résidences secondaires les logements meublés loués et à louer pour des séjours touristiques.

Ancienneté du logement - Blois - Est. La date moyenne de construction des logements est de 1967

Bon à savoir : La mixité au sein d'un quartier d'immeubles anciens et neufs est synonyme de dynamisme et d'une histoire. Cette mixité est un critère apprécié par les Français lorsqu'ils jugent le quartier où ils ont habité.
Les quartiers composés uniquement d'immeubles anciens où la protection du patrimoine est exacerbée peut être vécue comme une création d'un décor infantile pour touristes, comme si l'on se trouvait à Disneyland où les habitants se baladent au milieu d'une maquette géante.
A l'inverse, les quartiers composés uniquement d'immeubles neufs peuvent être dépourvus dans l'immédiat d'emplois, de commerces de proximité, de crèches, d'écoles et de transports en commun de même qu'ils attirent souvent un seul type population, souvent les jeunes familles avec enfants ne répondant pas aux besoins des autres populations.
Définition : La date de construction correspond à la moyenne des medianes des dates de construction de chaque logement.

Logements vacants - Blois - Est. Le pourcentage de logements vacants est de 11 %

Bon à savoir : Dans les villes, un taux de logements vacants non-nul atteste souvent d'un dynamisme de quartier où les habitations se renouvellent régulièrement.
Au contraire, dans les zones rurales où le taux de logements vacances est élevé, les habitations sont souvent laissées à l'abandon. Au niveau de la France, la moitié des logements vacants sont laissés en ruine.
Définition : Un logement vacant est un logement inoccupé se trouvant dans l'un des cas suivants :
- proposé à la vente, à la location ;
- déjà attribué à un acheteur ou un locataire et en attente d'occupation ;
- en attente de règlement de succession ;
- conservé par un employeur pour un usage futur au profit d'un de ses employés ;
- gardé vacant et sans affectation précise par le propriétaire (exemple un logement très vétuste...).

Absence de chauffage central - Blois - Est. Le pourcentage de logements sans chauffage central est de 14 %

Bon à savoir : Le chauffage central est un élément de confort très important qui contribue à la qualité interne du logement aux côtés de la présence de WC et de salle de bain (confort sanitaire).
On trouve une absence de chauffage central dans les petits logements d'immeubles anciens et dans les résidences secondaires qui privilégient un chauffage dit tout électrique souvent plus onéreux et le combustible au bois.
Si le chauffage est électrique, il est important que l'installation soit encastrée et les fils protégés. 95% des résidences principales en France possèdent un chauffage central.
Définition : Le chauffage est dit central lorsqu'il est collectif c'est-à-dire commun aux logements de l'immeuble et lorsqu'il est individuel c'est-à-dire s'il est propre au logement, et ce indépendamment du type de combustible.
Le chauffage « tout électrique » à radiateurs muraux, la cuisinière chauffante et les cheminées ne sont pas considérés comme du chauffage central.

Petites surfaces (<40 m2) - Blois - Est. Le pourcentage de petites surfaces (<40 m²) est de 10 %

Bon à savoir : La surface est l'élément clé du confort d'un logement. Un Français dispose en moyenne de 40 m² mais les hétérogénéités sont fortes entre les zones et entre les types de populations.
A moins de 18 m² par personne, le logement est alors surpeuplé et c'est les jeunes qui davantage par le surpeuplement. Les centre-ville et les zones étudiantes sont souvent des quartiers de petits logements au confort limité.
Plus l'âge augmente, plus la surface habitée est grande. Plus la ville est grande notamment Paris avec ses 32 m² par habitant, plus la surface diminue. Une personne seule dispose également en moyenne de 30 m² de plus qu'un cohabitant.
Définition : Les petites surfaces correspondent aux résidences principales dont la surface est inférieure à 40 m².

Cotisation Foncière des Entreprises - Blois - Est. La Contribution économique territoriale payée par les entreprises est de 25 %

Bon à savoir : La Contribution Economique Territoriale (CET) est le nom de la taxe payée par les entreprises remplaçant l'ancienne taxe professionnelle supprimée en 2009.
C'est un élément clé du budget d'une commune. Les plus privilégiés sont les habitants des communes avec de nombreuses sociétés comme Paris et La Défense (Puteaux et Courbevoie) qui récoltent beaucoup avec la CET et peuvent se permettre d'avoir une des taxes d'habitation les plus basses de France.
Définition : La Contribution Economique Territoriale (CET) est la somme de deux cotisations :
- la cotisation foncière des entreprises (CFE) ;
- la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE).

Taxe professionnelle - Blois - Est. L'ancienne taxe professionnelle était de 29 %

Bon à savoir : La taxe professionnelle a été supprimée en 2009 mais a été remplacé par la Contribution Economique Territoriale (CET) toujours payée par les entreprises.
La CET est désormais un élément clé du budget d'une commune. Les plus privilégiés sont les habitants des communes avec de nombreuses sociétés comme Paris et La Défense (Puteaux et Courbevoie) qui récoltent beaucoup avec la CET et peuvent se permettre d'avoir une des taxes d'habitation les plus basses de France.
Définition : La taxe professionnelle de la commune était payé par les entreprises jusqu'en 2009 et a été depuis remplacé par la Contribution Economique Territoriale (CET).

Densité de logements - Blois - Est. La densité de logements est 8 log./ha

Bon à savoir : La densité de logements contribue à augmenter la qualité de vie en permettant la présence d'un bon tissu de commerces de proximité et d'un réseau de transport en commun efficace.
Une ville écologique a une densité élevée luttant contre l'étalement urbain et les déplacements « tout voiture » caractéristiques d'une faible densité.
Trop dense, une ville peut néanmoins devenir étouffante si elle ne laisse pas de place suffisante aux piétons en créant des espaces de vie avec ses trottoirs, places et jardins.
A l'inverse, une faible densité en ville montre soit la présence de bureaux, d'industries et de maisons individuelles soit que l'urbanisation n'est pas homogène et que de nombreux espaces vides et de transitions existent. Ces zones sont caractéristiques de déplacements « tout voiture » et d'une faible présence de commerces de proximité.
Une attention toute particulière doit être faite aux espaces vides et de transitions (rues, promenades, square, loggia, patio,?) qui influe sur la perception de la densité. C'est ainsi que la densité est souvent perçue comme élevée dans les grands ensembles, tours et barres, alors qu'elle bien inférieure aux densités des centre-villes.
Définition : La densité de logements correspond au nombre de logements par hectare.

Type de maison - Blois - Est. En un mot, le type logement est : Appartements et maisons de ville

Bon à savoir : En croisant toutes les données d'immobilier, nous pouvons identifier certains types de quartier :
- le centre-ville, dense et animé ;
- les quartiers composés uniquement de locataires ;
- les quartiers avec également des maisons de ville ;
- les zones récentes avec des maisons individuelles ;
- les zones plus anciennes avec des maisons individuelles ;
- les zones laissées à l'abandon ;
- les zones de résidences secondaires.
Il est intéressant de situer le centre-ville et sa distance par rapport à son quartier et de comprendre quelles sont les zones plates (maisons) et de tourisme (résidences secondaires).
Définition : Kel Quartier a réalisé une typologie automatique des quartiers et des communes sur la base des caractéristiques des logements, leur ancienneté, la part de propriétaires et leur densité.
Kel Quartier a retenu 7 types de logements à savoir le centre ville, à louer, les appartements et maisons de ville, les maisons récentes, les maisons anciennes, à l'abandon et les résidences secondaires.

Habitants - Blois - Est

Carte Habitants Est Comparé à la commune Blois
Revenu moyen 25500 euros 22400 euros
Chômage 11 % 17 %
Age moyen 42 ans 40 ans
Densité de population 1380 hab/km² 1250 hab/km²
Croissance démographique 1 % -3 %
Enfants et adolescents 22 % 24 %
Transport vers lieu de travail 70 % 76 %
Bacheliers 38 % 37 %
Lieu de travail 71 % 70 %
Taux de fécondité 9 % 10 %
Rentes, retraites, etc. 10200 euros 8500 euros
Ménages imposés 65 % 56 %
Personnes âgées 26 % 22 %
Cadres 43 % 40 %
Employés et ouvriers 57 % 60 %
Retraités 25 % 21 %
Taille moyenne des ménages 2,1 hab./ménage 2,1 hab./ménage

Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Dupond-Aignan a obtenu au 1e tour 2012 1,6 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition : Part des votes exprimés à l'élection présidentielle 2012 à la commune - En cours de rédaction

Revenu moyen - Blois - Est. Le revenu moyen d'un ménage est de 25500 euros

Bon à savoir : Le niveau de revenu des ménages est un indicateur de la richesse des résidants.
Attention, cette estimation est parfois manquante ou peu fiable du fait des informations non fournies par la DGFiP pour conserver le secret statistique sur des zones à trop faible population. - En cours de rédaction
Définition :

Chômage - Blois - Est. Le taux de chômage est de 11 %

Bon à savoir : Cette mesure est complexe. Les frontières entre emploi, chômage et inactivité ne sont pas toujours faciles à établir. - En cours de rédaction
Définition :

Age moyen - Blois - Est. L'âge moyen est de 42 ans

Bon à savoir : Cette donnée permet d'identifier les quartiers les plus dynamiques (les plus jeunes) ou les plus calmes avec généralement les structures sociales, sportives et culturelles adptées à la population. - En cours de rédaction
Définition :

Densité de population - Blois - Est. Il y a 1380 hab/km²

Bon à savoir : La densité de population caractérise le niveau d'occupation du quartier par des habitations (à défaut de parcs ou d'avenues aérées) ainsi que la taille des habitats collectifs (bâtiments de 3 ou 15 étages). - En cours de rédaction
Définition :

Croissance démographique - Blois - Est. La croissance démographique est de 1 %

Bon à savoir : Cette évolution vous indique le dynamisme du quartier ou de la commune et son attractivité. - En cours de rédaction
Définition :

Enfants et adolescents - Blois - Est. La part des moins de 20 ans est de 22 %

Bon à savoir : En cours de rédaction
Définition :

Transport vers lieu de travail - Blois - Est. Le pourcentage de personnes qui utilisent leur voiture ou 2 roues pour aller travailler est de 70 %

Bon à savoir : Les transports en commun permettent-ils de desservir efficacement les principales zones d'emploi ? - En cours de rédaction
Définition :

Bacheliers - Blois - Est. Le pourcentage de bacheliers est de 38 %

Bon à savoir : Cet indicateur donne une vision du niveau de réussite scolaire de la population résidente du quartier. - En cours de rédaction
Définition :

Lieu de travail - Blois - Est. Le pourcentage de personnes qui travaillent dans la commune est de 71 %

Bon à savoir : Cette donnée vous permet d'apprécier si la commune en question est plutôt active économiquement ou une banlieue dortoir : de la vie uniquement soir et WE ou toute la semaine. - En cours de rédaction
Définition :

Taux de fécondité - Blois - Est. Le taux de fécondité est de 9 %

Bon à savoir : Le taux de fécondité indique des quartiers plutôt familiaux et jeunes. - En cours de rédaction
Définition :

Rentes, retraites, etc. - Blois - Est. Les rentes, retraites, etc par ménage s'élèvent à 10200 euros

Bon à savoir : En complément du revenu moyen et croisé avec l'âge moyen de la population, les revenus non salariaux permettent d'apprécier les zones composées de propriétaires de forts patrimoines ou de sociétés largement bénéficiaires.
Attention, cette estimation est parfois manquante ou peu fiable du fait des informations non fournies par la DGFiP pour conserver le secret statistique sur des zones à trop faible population. - En cours de rédaction
Définition :

Ménages imposés - Blois - Est. La part des ménages imposés est de 65 %

Bon à savoir : En complément du revenu moyen, la part des ménages imposés permet de complèter son analyse de la richesse de la zone observée.
Attention, cette estimation est parfois manquante ou peu fiable du fait des informations non fournies par la DGFiP pour conserver le secret statistique sur des zones à trop faible population. - En cours de rédaction
Définition :

Personnes âgées - Blois - Est. La part des personnes âgées est de 26 %

Bon à savoir : En cours de rédaction
Définition :

Cadres - Blois - Est. Le pourcentage de cadres est de 43 %

Bon à savoir : Les catégories socioprofessionnelles donnent une vision du type de population active résidant dans le quartier. - En cours de rédaction
Définition : Le revenu par ménage est une estimation Kel Quartier basée sur le revenu médian des foyers fiscaux fourni par la DGFiP. - En cours de rédaction

Employés et ouvriers - Blois - Est. Le pourcentage d'employés et d'ouvriers est de 57 %

Bon à savoir : Les catégories socioprofessionnelles donnent une vision du type de population active résidant dans le quartier. - En cours de rédaction
Définition : Le chômage représente l'ensemble des personnes de 15 ans et plus, privées d'emploi et en recherchant un, au sens du BIT. - En cours de rédaction

Retraités - Blois - Est. Le pourcentage de retraités est de 25 %

Bon à savoir : Le % de retraités donne une vision complémentaire à la donnée d'âge moyen de la population résidente. - En cours de rédaction
Définition : L'âge moyen de la population résidente est estimé selon le nombre d'habitants présent dans chaque classe d'âge (utilisation de la segmentation INSEE en 10 classes). - En cours de rédaction

Taille moyenne des ménages - Blois - Est. Il y a 2,1 hab./ménage

Bon à savoir : La taille des familles indique si le quartier sera plutôt orienté jeune et célibataires (souvent des quartiers dynamiques) ou plutôt famille avec les équipements collectifs nécessaires. - En cours de rédaction
Définition : Calcul réalisé par Kel Quartier : nombre d'habitants par km² selon la surface totale du quartier ou de la commune. - En cours de rédaction

Environnement - Blois - Est

Carte Environnement Est Comparé à la commune Blois
Transports publics 0 tran./km² 0,1 tran./km²
Précipitations annuelles 665 mm par an 665 mm par an
Ensoleillement annuel 1945 heures par an 1945 heures par an
Equipements sportifs 2,6 équip./km² 4,2 équip./km²
Distance à l'aéroport 0,1 km 0,1 km
Distance centrale nucléaire 20,5 km 20,5 km
Espaces verts 16 % 51 %
Ville et villages fleuris Quatre fleurs   NA
Utilisation de la voiture 18 % 23 %
Type de quartier Calme   NA
Type de paysage Ville   NA

Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Dupond-Aignan a obtenu au 1e tour 2012 1,6 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition : Part des votes exprimés à l'élection présidentielle 2012 à la commune - En cours de rédaction

Transports publics - Blois - Est. Il y a 0 tran./km²

Bon à savoir : Le quartier ou la commune sont-ils très bien desservis en transports en commun ? - En cours de rédaction
Définition :

Précipitations annuelles - Blois - Est. Il pleut 665 mm par an

Bon à savoir : Si vous ne connaissez pas la région, faut-il prévoir un ciré ? - En cours de rédaction
Définition :

Ensoleillement annuel - Blois - Est. Il y a du soleil 1945 heures par an

Bon à savoir : Si vous ne connaissez pas la région, le béret est-il de mise ? - En cours de rédaction
Définition :

Equipements sportifs - Blois - Est. Il y a 2,6 équip./km²

Bon à savoir : Appréciez l'accessibilité et l'offre en équipements sportifs de chaque quartier et commune. - En cours de rédaction
Définition :

Distance à l'aéroport - Blois - Est. L'aéroport le plsu proche est à 0,1 km

Bon à savoir : Les gênes occasionnées par la proximité d'un aéroport ne sont plus à démontrer, tant du point de vue du bruit que de la pollution occasionnée, cette indication de distance est à rapprocher avec les couloirs aériens utilisés. - En cours de rédaction
Définition :

Distance centrale nucléaire - Blois - Est. La centrale nucléaire la plus proche est à 20,5 km

Bon à savoir : En dehors des risques potentiels, la plupart du temps plus subjectifs que rationnels, la proximité d'une centrale nucléaire vis-à-vis de son habitat risque d'en dégrader le paysage (certaines personnes peuvent néanmoins apprécier ce type d'architecture). - En cours de rédaction
Définition :

Espaces verts - Blois - Est. La part des espaces verts est 16 %

Bon à savoir : Appréciez la respiration urbaine proposée au sein de chaque quartier et commune. - En cours de rédaction
Définition :

Ville et villages fleuris - Blois - Est. Label Villes et Villages fleuris : Quatre fleurs

Bon à savoir : L'attribution du label Villes et Villages Fleuris s'effectue sur la base d'une série de critères définis par le CNVVF :
- La motivation pour l'obtention du label.
- La démarche globale de valorisation communale par le végétal et de fleurissement.
- Les actions d'animation et de promotion de cette démarche auprès de la population, des touristes et des acteurs pouvant être concernés.
- La présentation du patrimoine végétal et du fleurissement.
- Les modes de gestion mis en place pour entretenir ce patrimoine en respectant les ressources naturelles et la biodiversité.
- Les actions complémentaires mises en oeuvre pour favoriser la qualité des espaces publics (mobilier, voirie, façades, enseignes, propreté...).
- La cohérence des aménagements paysagers et de leur gestion selon les différents lieux de la commune. - En cours de rédaction
Définition :

Utilisation de la voiture - Blois - Est. La part des ménages sans voiture est de 18 %

Bon à savoir : Une forte part de ménages sans voiture indique généralement des zones urbaines très bien désservies en transports en communs. Les zones les plus agées voient aussi naturellement cet indicateur augmenté des personnes ne conduisant plus par contrainte physique, de réflexes ou peur de l'accident. - En cours de rédaction
Définition :

Type de quartier - Blois - Est. En un mot, le type de quartier est Calme

Bon à savoir : Une caractérisation des quartiers et communes entre eux réalisée par Kel Quartier. - En cours de rédaction
Définition :

Type de paysage - Blois - Est. En un mot, le type de paysage est Ville

Bon à savoir : Une caractérisation des quartiers et communes entre eux réalisée par Kel Quartier. - En cours de rédaction
Définition :

Education - Blois - Est

Carte Education Est Comparé à la commune Blois
Crèches, écoles et lycées 2,5 étab./km² 4,6 étab./km²
Résultats des lycées 84 % 86 %
Sélectivité des lycées 0 0
Valeur ajoutée des lycées -6 -4

Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Dupond-Aignan a obtenu au 1e tour 2012 1,6 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition : Part des votes exprimés à l'élection présidentielle 2012 à la commune - En cours de rédaction

Crèches, écoles et lycées - Blois - Est. Il y a 2,5 étab./km²

Bon à savoir : Appréciez l'accessibilité de l'offre scolaire de chaque quartier et commune. - En cours de rédaction
Définition :

Résultats des lycées - Blois - Est. Les résultats au bac des lycées est de 84 %

Bon à savoir : Cette rubrique vous permet d'apprécier les résultats des lycées présents dans le quartier. - En cours de rédaction
Définition :

Sélectivité des lycées - Blois - Est. La sélectivité des lycées est de 0

Bon à savoir : Cette rubrique vous permet d'apprécier les résultats des lycées présents dans le quartier. - En cours de rédaction
Définition :

Valeur ajoutée des lycées - Blois - Est. La valeur ajoutée des lycées est de -6

Bon à savoir : Cette rubrique vous permet d'apprécier les résultats des lycées présents dans le quartier. - En cours de rédaction
Définition :

Commerces et établissements - Blois - Est

Carte Commerces et établissements Est Comparé à la commune Blois
Bars, cafés et restaurants 0,1 tous les 100m 0,1 tous les 100m
Commerces 0,5 tous les 100m 0,7 tous les 100m
Médecins généralistes 1400 hab./généraliste 800 hab./généraliste
Capacité d'accueil touristique 160 lits/km² 160 lits/km²
Type de commerce et animation Commerces locaux et indépendants   NA
Croissance du nombre total d'établissements 11 % 11 %

Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Dupond-Aignan a obtenu au 1e tour 2012 1,6 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition : Part des votes exprimés à l'élection présidentielle 2012 à la commune - En cours de rédaction

Bars, cafés et restaurants - Blois - Est. Il y a 0,1 tous les 100m

Bon à savoir : Selon vos préférences : cet indicateur vous permet d'apprécier si le quartier est plutôt animé ou pas dans la journée et le soir. - En cours de rédaction
Définition :

Commerces - Blois - Est. Il y a 0,5 tous les 100m

Bon à savoir : Un fort nombre indique la possibilité de faire à pied vos courses quotidiennes avec une bonne diversité d'enseignes et de services. - En cours de rédaction
Définition :

Médecins généralistes - Blois - Est. Il y a 1400 hab./généraliste

Bon à savoir : Appréciez l'accessibilité à l'offre de soins de chaque quartier et commune. - En cours de rédaction
Définition :

Capacité d'accueil touristique - Blois - Est. Il y a 160 lits/km²

Bon à savoir : Les fortes densités en capacité d'accueil indiquent des zones, soit très touristiques, soit économiquement très dynamiques. - En cours de rédaction
Définition :

Type de commerce et animation - Blois - Est. En 1 mot, le type de commerce est Commerces locaux et indépendants

Bon à savoir : Une caractérisation des quartiers et communes entre eux réalisée par Kel Quartier. - En cours de rédaction
Définition :

Croissance du nombre total d'établissements - Blois - Est. La croissance des établissements est de 11 %

Bon à savoir : Cette évolution vous permet de déterminer la dynamique économique de la commune ou du quartier.
Attention néanmoins à l'impact des autoentrepreneurs : en 2009 les créations d'entreprises ont atteint un niveau record (75 % de plus qu'en 2008). Ceci s'explique par le nouveau régime d'autoentrepreneur au sein de tous les secteurs d'activité et de toutes les régions. Plus de la moitié des créations de 2009 sont des autoentrepreneurs. - En cours de rédaction
Définition :

Politique - Blois - Est

Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Dupond-Aignan a obtenu au 1e tour 2012 1,6 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition : Part des votes exprimés à l'élection présidentielle 2012 à la commune - En cours de rédaction

Etiquette politique du maire - Blois - Est. L'étiquette politique du maire est Marc GRICOURT (2014)

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

François Hollande 2e tour 2012 - Blois - Est. François Hollande a obtenu au 2e tour 2012 56,7 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Rapport de force Gauche-Droite - Blois - Est. Le poids de la majorité de gauche est de 53,5 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Nicolas Sarkozy 1e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Sarkozy a obtenu au 1e tour 2012 24,5 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

François Hollande 1e tour 2012 - Blois - Est. François Hollande a obtenu au 1e tour 2012 32,7 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Marine Le Pen 1e tour 2012 - Blois - Est. Marine Le Pen a obtenu au 1e tour 2012 15,7 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Jean-Luc Mélenchon 1e tour 2012 - Blois - Est. Jean-Luc Mélenchon a obtenu au 1e tour 2012 11,1 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

François Bayrou 1e tour 2012 - Blois - Est. François Bayrou a obtenu au 1e tour 2012 10 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Eva Joly 1e tour 2012 - Blois - Est. Eva Joly a obtenu au 1e tour 2012 2,7 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Nicolas Dupond-Aignan 1e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Dupond-Aignan a obtenu au 1e tour 2012 1,6 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Philippe Poutou 1e tour 2012 - Blois - Est. Philippe Poutou a obtenu au 1e tour 2012 1,1 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Taux d'abstention 1e tour 2012 - Blois - Est. Le taux d'abstention au 1e tour 2012 est de 25,3 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Nicolas Sarkozy 2e tour 2012 - Blois - Est. Nicolas Sarkozy a obtenu au 2e tour 2012 43,3 %

Bon à savoir : Découvrez la couleur politique des résidants de la commune et leurs nuances. - En cours de rédaction
Définition :

Infos locales

Transport

Total / Arrêt de bus / Arrêt de bus / Parking

Education

Collège Augustin Thierry / Section d'Enseignement professionnel du lycée polyvalent Augustin Thierry / Collège les Provinces / Section d'Enseignement Général et professionnel adapté du Collège les Provinces / Ecole maternelle les Provinces / Ecole primaire Yvonne Mardelle / Ecole primaire Marguerite Audoux / CFA interprofessionnel du Loir et Cher / Université d'Orléans Institut Universitaire de Formation des Maîtres (Antenne de Blois) / Institut de formation en soins infirmiers / Lycée polyvalent Augustin Thierry / Lycée professionnel Sonia Delaunay / Lycée F Philibert Dessaignes

Commerce et Service

Blois les Cornillettes / E. Leclerc / Lidl

Loisirs

Cap' Cine / Rbm Fitgym / Maison d'Arret / Lycée Dessaignes et Sonia Delaunay / Lycée Augustin Thierry / Complexe sportif Honoré de Balzac / Terrain de Jeux les Cornillettes / Plateau E.P.S Ecole Élémentaire Yvonne Mardelle (Picardie) / Plateau E.P.S Ecole Marguerite Audoux / Centre Equestre de Blois / Direction Departementale de l'Equipement / Complexe sportif Intercommunal

Culture

Haras / Basilique Notre-Dame de la Trinité

Santé

Pharmacie / Médecin généraliste / Médecin généraliste / Médecin généraliste / Médecin généraliste

Petite enfance

Etablissement Multi-accueil de l'Hôpital / Provinces

Tourisme

Inter-Hotel le Cosy (2 étoiles) / F1 Blois Nord (1 étoile) / Hotel Premiere Classe Blois (1 étoile) / Campanile (3 étoiles) / Brithotel Prema (3 étoiles) / Ibis Blois Vallee Maillard (3 étoiles)

Actualités du quartier

La Maison de la bd fête ses 10 ans en 2025 !

04/09/2025

En une décennie, la Maison de la bd est devenue plus qu’une institution : c’est un lieu de découverte, d’apprentissage, de rencontres et de partage où se croisent scolaires, touristes, Blésoises, Blésois, auteurs et autrices, conformément à l’esprit d’ouverture qui anime l’association bd BOUM. Dessin de plusieurs animaux anthropomorphisés sur un vélo cargo devant la Maison de la bd.

Article par Anne-Sophie Perraudin.

Il y a 10 ans, l’équipe de bd BOUM quittait ses bureaux excentrés pour emménager en c½ur de ville, dans un lieu sans équivalent en France : la Maison de la bd. C’était une idée de Marc Gricourt. Il pensait que nous avions tout à gagner à bénéficier d’un espace qui nous permettrait de renforcer nos actions à l’année et nous donnerait de la visibilité, tout en contribuant à l’attractivité touristique de la ville, explique Bruno Genini, directeur de l’association.

C’est ainsi que, depuis 10 ans, la Maison de la bd déploie sa programmation autour du triptyque pédagogie-expositions-création, répondant à son ambition d’accueillir le plus grand nombre, des scolaires au grand public, en passant par les par les dessinateurs, dessinatrices et scénaristes. Ce lieu a radicalement changé notre façon de travailler, note Bruno Genini. Par rapport à avant, ce que nous pouvons faire, c’est puissance 10 !.

En une décennie, la Maison de la bd a accueilli 136 000 visiteuses et visiteurs, 17 960 scolaires, 88 expositions, 54 rencontres et conférences, 35 artistes en résidence et 16 sur l’atelier Kraft (à destination des autrices et auteurs locaux). Nos chiffres sont en progression chaque année, se félicite le directeur. Nous sommes bien identifiés comme étape touristique et je crois que les gens d’ici se sont attachés au lieu. De fait, 10 ans de cette vie culturelle intense ont suffi à inscrire la Maison de la bd, de manière indélébile, dans le patrimoine blésois.

La fête à la maison

Si, en 2020, le confinement avait empêché la Maison de la bd de fêter ses 5 ans, elle met les bouchées doubles pour son dixième anniversaire. Rendez-vous vendredi 5 septembre 2025 à 18 h 30, pour un moment festif ouvert à toutes et tous, dans le pur esprit bd BOUM.

Au programme : la découverte des nouvelles expositions, le bilan de la décennie, un grand gâteau à partager et, en clôture, un concert de Paddy O’Turner.

La Maison de la bd fête ses 10 ans en 2025 !

04/09/2025

En une décennie, la Maison de la bd est devenue plus qu’une institution : c’est un lieu de découverte, d’apprentissage, de rencontres et de partage où se croisent scolaires, touristes, Blésoises, Blésois, auteurs et autrices, conformément à l’esprit d’ouverture qui anime l’association bd BOUM. Dessin de plusieurs animaux anthropomorphisés sur un vélo cargo devant la Maison de la bd.

Article par Anne-Sophie Perraudin.

Il y a 10 ans, l’équipe de bd BOUM quittait ses bureaux excentrés pour emménager en c½ur de ville, dans un lieu sans équivalent en France : la Maison de la bd. C’était une idée de Marc Gricourt. Il pensait que nous avions tout à gagner à bénéficier d’un espace qui nous permettrait de renforcer nos actions à l’année et nous donnerait de la visibilité, tout en contribuant à l’attractivité touristique de la ville, explique Bruno Genini, directeur de l’association.

C’est ainsi que, depuis 10 ans, la Maison de la bd déploie sa programmation autour du triptyque pédagogie-expositions-création, répondant à son ambition d’accueillir le plus grand nombre, des scolaires au grand public, en passant par les par les dessinateurs, dessinatrices et scénaristes. Ce lieu a radicalement changé notre façon de travailler, note Bruno Genini. Par rapport à avant, ce que nous pouvons faire, c’est puissance 10 !.

En une décennie, la Maison de la bd a accueilli 136 000 visiteuses et visiteurs, 17 960 scolaires, 88 expositions, 54 rencontres et conférences, 35 artistes en résidence et 16 sur l’atelier Kraft (à destination des autrices et auteurs locaux). Nos chiffres sont en progression chaque année, se félicite le directeur. Nous sommes bien identifiés comme étape touristique et je crois que les gens d’ici se sont attachés au lieu. De fait, 10 ans de cette vie culturelle intense ont suffi à inscrire la Maison de la bd, de manière indélébile, dans le patrimoine blésois.

La fête à la maison

Si, en 2020, le confinement avait empêché la Maison de la bd de fêter ses 5 ans, elle met les bouchées doubles pour son dixième anniversaire. Rendez-vous vendredi 5 septembre 2025 à 18 h 30, pour un moment festif ouvert à toutes et tous, dans le pur esprit bd BOUM.

Au programme : la découverte des nouvelles expositions, le bilan de la décennie, un grand gâteau à partager et, en clôture, un concert de Paddy O’Turner.

Vidéo : pourquoi y a-t-il des commerces vides en centre-ville ?

30/08/2025

… et que peut-on faire face au problème ? Stationnement, économie, immobilier, cadre de vie… tous les angles du sujet sont détaillés dans cette vidéo. Une façade d’immeuble dont le local commercial au rez-de-chaussée est vide et entourée d’un cercle pointé par une flèche.

Pourquoi y a-t-il des commerces vides en centre-ville et que peut-on faire face au problème ?

Note : à des fins d’accessibilité universelle, ce qui suit décrit de façon textuelle la vidéo, pour les personnes ayant un trouble de la vue ou non voyantes.

Des bulles de commentaires apparaissent successivement, lues par une personne différente pour chacun :

  • « Les commerces disparaissent, ça ne donne pas envie de venir. »
  • « Il est impossible de se garer en centre-ville. »
  • « Les grandes surfaces ont un grand parking gratuit, au moins. »
  • « Il n’y a rien à faire en centre-ville. »
  • « À force de fermer les zones aux voitures, voilà le résultat. »
  • « Tout est trop cher. »

Voix off.

Ces commentaires, on les croise de plus en plus… à Blois, mais aussi à travers tout l’Hexagone. Loin d’être localisé, le problème concerne en effet toute la France. (Des émojis apparaissent à côté de chaque commentaire, ceux-ci se multiplent à travers l’Hexagone, qui apparait progressivement.)

D’après un article du Monde sur la « décommercialisation », publié mi-2025, partout ou presque, les rues commerçantes se vident de leurs échoppes, perdant peu à peu leur dynamisme. La part des locaux commerciaux vides — le fameux « taux de vacance » — a ainsi « doublé en 20 ans et atteint des niveaux record » à travers le pays. (Premier graphique de points sur l’Hexagone, de différentes tailles et intensité, illustrant le nombre de commerce et le taux de vacance, puis second graphique avec plusieurs flèches montant vers le haut.)

Et d’après le magazine spécialisé LSA, 54 % des personnes interrogées craignent que les commerces de centre-ville ne soient voués à disparaître.

Mais… pourquoi ? Pourquoi y a-t-il des commerces vides en centre-ville ? Et que peut-on faire face au problème ? Dans cette vidéo, on va faire le point.

D’abord, sur les causes. Les commerces en périphéries, l’austérité, la flambée des loyers… Mais il y a aussi des spécificités locales. (Des images illustrent respectivement ces sujets.) Derrière les façades de certaines propriétés privées, il y a des réalités souvent méconnues. (Images à l’intérieur d’un immeuble très dégradé.) Et enfin… il y a la situation mondiale. Aucun territoire n’y échappe vraiment. L’explosion du commerce en ligne, de la mode ultra-éphémère et de la seconde main, l’inflation à cause de la guerre en Ukraine…

Et face à ça, il y a des solutions : ce que peut faire une mairie comme celle de Blois, les propriétaires, les sociétés d’investissement, l’État… et ce que chacune et chacun peut faire à son niveau.

Avant de nous pencher sur les causes des fermetures, prenons un peu de recul et analysons ensemble à quoi ressemble le commerce en centre-ville.

(Le chiffre 1 apparaît en grand à l’écran.)

Dans le c½ur commerçant de Blois, il y a 636 locaux commerciaux. C’est un chiffre important, puisque d’autres villes pourtant plus grandes, en ont moins en proportion. 28% des commerces en activité sont des restaurants, des bars et des hôtels, 26% des services (notamment les agences), 15% font de l’habillement, 10% sont dans l’esthétique et le bien-être, 9% sont des commerces de proximité (boulangerie, supérette, fleuriste), et le reste sont répartis dans d’autres secteurs (maisons, culture, loisirs, ou autres).

Identifier les types de commerces installés est important, car certains secteurs sont plus affectés que d’autres. Le secteur de l’habillement, par exemple, est en difficulté dans toute la France, qu’il s’agisse des chaînes ou des indépendants. (Graphique de lignes par type de commerce, celle de l’habillement descend tandis que les autres sont relativement stables.)

Au total, lors de notre dernier relevé mi-2025, dans le c½ur commerçant de Blois, 76 locaux étaient vides sur 636 (11,9%). Dans l’hyper-centre-ville, 71 étaient vides sur 553 (12,8%). Et enfin, dans la rue du Commerce, 14 étaient vides sur 70 (20%).

Une partie de la difficulté se concentre donc sur la rue du Commerce. Cette rue étant historiquement la plus visible à Blois, elle peut donner une impression de vide généralisé.

Les données de tous les autres territoires ne sont pas encore disponibles pour 2025. Mais historiquement, Blois s’en sort légèrement mieux que dans d’autres territoires comparables.

Mais cette proportion de commerces vides reste un problème, à Blois comme dans le reste du pays. Et on revient donc à la question : pourquoi ?

Le stationnement est souvent mis en cause, tant sur le nombre de places, que sur leur prix. Pourtant, d’après les relevés au fil de l’année à Blois, il y a toujours des places disponibles dans le centre-ville… (Des panneaux d’orientation indiquent des parkings sur l'espace public avec 90 et 213 places disponibles sur un écran à côté de chacun.) Et dans sa région, Blois est l’une des villes-préfectures où le stationnement est le moins cher. (Graphique illustrant les 6 villes-préfectures de la région, pour 2 heures de stationnement sur la voirie payante : 6¤ à Chartres, 4,80¤ à Bourges, 4,10¤ à Orléans, 4¤ à Tours, 3,50¤ à Châteauroux et 3,20¤ à Blois. Relevé début août 2025 pour les zones payantes principales (les plus proches du c½ur commerçant), hors abonnements, forfaits et cartes. Puis pastille indiquant qu'il y a jusqu’à 2 h gratuites en souterrain).

Le public ne s’y trompe pas : il y a foule lors des grands évènements et les jours de marché.

Le problème est en fait plus large.

D’après Le Monde, de nombreuses enseignes souffrent d’une consommation bridée par un pouvoir d’achat contraint et un drastique changement des habitudes de consommation, en particulier depuis le début de la pandémie de Covid-19 et la poussée inflationniste qui a suivi l’invasion de l’Ukraine par la Russie en 2022.

Paul Gillet, maire adjoint au commerce. (Il descend la rue Porte-côté.)

Aux niveaux national et mondial, on peut voir qu’il y a une mutation qui est énorme au niveau du commerce, mais du commerce en règle générale : grandes villes, petites villes, métropoles… C’est à dire que depuis le Covid, on a vu une mutation complète des manières de consommer, des types de consommation. On est passé clairement du commerce physique au commerce digital, mais dans une proportion qui est énorme.

Voix off.

En effet, 24 h sur 24 et 7 jours sur 7, certaines chaînes et grandes plateformes de commerce en ligne proposent des prix cassés. Bien souvent, en coulisses, cela se traduit par des conditions de travail dégradées. (Vidéos d’un immense entrepôt logistique, puis de personnes triant les colis.)Après Et par ailleurs, toute une partie de leurs produits sont ultra-éphémères, à un prix encore plus bas. (Photo d’une personne entourée de sac de vêtements entassés.) Malgré leur impact environnemental, ces plateformes ont du succès. (Vidéo d’une pile de vêtements dans une déchetterie.) Car le pouvoir d’achat est dégradé depuis longtemps… (Vidéo d’une personne s’attardant sur son ticket de caisse.)

Et en particulier depuis les évènements géopolitiques de 2022. Parmi leurs conséquences économiques : une forte hausse des prix des matières premières, de l’énergie, et globalement… un choc d’inflation. (Graphique de la courbe d’évolution de l’indice des prix, de 1990 à mi-2025, base 2022, avec une hausse de 5,2% en 2022 qui se détache nettement du reste de l'évolution précédente, source Insee.)

En parallèle, les inégalités entre les niveaux de vie sont actuellement au plus haut depuis 30 ans. (Graphique de la courbe d’évolution du rapport entre les niveaux de vie moyens des 10% les plus riches et les 10% les plus pauvres, de 1996 à 2023. Source Insee Première numéro 2063 (juillet 2025) et Observatoire des inégalités.)

Une petite partie de la population a vu ses revenus progresser fortement. Mais la grande majorité a vu ses revenus : soit baisser ; soit légèrement augmenter, certes… mais pas assez pour rattraper le dernier pic d’inflation. (Infographie de 100 silhouettes, les 10% les plus à droite en vert avec la légende « Hausse du niveau de vie des 10% les plus aisés », et les 90% restant allant du rouge à l’orange avec la légende « Baisse, stagnation ou trop faible augmentation du niveau de vie du reste de la population. Source Insee Première numéro 2063 (juillet 2025)).

Autrement dit : le pouvoir d’achat baisse… en même temps que les factures augmentent.

S’ajoutent à ça les zones commerciales de périphérie. À Blois il y en a 2. (Photo satellite zoomant sur les deux zones au sud et au nord de Blois.)

De nombreuses chaines préfèrent s’y installer plutôt que de rester en centre-ville. Parmi leurs arguments : la plus grande quantité d’espace disponible, pour exposer plus de produits, et concurrencer les rayons quasi infinis du commerce en ligne. (Vidéo d’une personne au milieu d’un long rayon de vêtements.)

Stéphanie Charret, directrice du Commerce à la Ville de Blois, nous en parle.

Stéphanie Charret, directrice du Commerce à la Ville de Blois. (Elle se tient devant l’entrée fleurie du quartier des arts.)

Les plus grandes surfaces commerciales de la rue du Commerce font à peu près 200 250 mètres carrés. Aujourd’hui, les grandes enseignes qui nous approchent, le cahier des charges est très précis, très clair. Il faut minimum minimum 300 mètres carrés de surface commerciale. Et ça encore, j’insiste là dessus, c’est vraiment le minimum. Quand on parle de plusieurs milliers de mètres carrés en zone de périphérie. Donc voilà, il y a… Il y a une problématique nationale que l’on connaît tous, avec des changements importants dans les modes de consommation.

Voix off.

Pour les commerces qui n’ont pas besoin d’une grande surface et qui veulent s’installer en centre-ville, il reste un autre gros, gros problème, qui ne se voit pas forcément depuis la rue : l’état déplorable de certains locaux. À plusieurs endroits, les propriétaires privés ont complètement abandonné leur immeuble, et l’ont laissé se dégrader, petit à petit… au point qu’il est devenu difficile, voire impossible, de louer le local du rez-de-chaussée à un nouveau commerce. (Vidéo aérienne de l’hyper-centre-ville, puis au sol au milieu d’autres personnes dans la rue du Commerce, puis à l’intérieur d’une immeuble (pastille « propriété privée ») dégradé, avec de grosses taches au sol du rez-de-chaussée, puis dans les étages avec des fenêtres de toit ouvertes qui causent des dégâts des eaux, l’entrée de pigeons dont on voit les fientes sur le sol intérieur, les peintures et papiers peints qui tombent.)

La Ville est entrée dans certaines de ces propriétés privées… pourtant très protégées, juridiquement. (Le maire et l’adjoint à la ville durable entrent et font un tour des lieux, manifestement atterrés.) Elle n’est autorisée à le faire que sous certaines conditions : une alerte des personnes occupant l’immeuble, une autorisation du préfet, ou en cas de risque grave, visible de l’extérieur, avec un expert et des pompiers. Et une fois à l’intérieur, le constat est clair : la situation empire progressivement.

Marc Gricourt, maire de Blois. (Dans un étage d’un immeuble délabré.)

Nous sommes ici dans un immeuble de la rue du Commerce, dans un état de délabrement, voire de péril d’ailleurs. Mais comme beaucoup d’autres immeubles, le diagnostic que l’on a fait l’année dernière a confirmé cet état de vétusté des immeubles. C’est quelque chose d’incroyable. Alors c’était une partie… là, nous sommes au dessus, au deuxième étage, au dessus d’un commerce, voire troisième, je sais plus. On a pu voir l’escalier dangereux avec des marches qui sont défaillantes. (Plan de coupe avec des marches manifestement pas solides, dont la surface est très creusée au point qu’il y a un jour avec l’arrière de l’escalier.) On voit ici c’est une partie habitée. Donc jusqu’à quelle époque ? 50, 60 ans ? (Plan de coupe avec un évier rempli de fientes d’oiseaux et de détrituts divers.) En tout cas complètement abandonné. Et du coup, avec une toiture, on peut le constater qui est complètement détériorée, délabrée. On a, quand il pleut, des fuites jusqu’au rez-de-chaussée, dans le commerce. (Plan de coupe avec une verrière en partie ouverte, laissant l'eau couler le long des murs jusqu’au rez-de-chaussée où l’on retrouve la tache du début.) Voilà, je crois que c’est un bel exemple de ce qui est malheureusement la réalité de beaucoup d’immeubles.

Voix off.

Donc même quand des commerces veulent s’installer dans certains immeubles du centre-ville, la réalité est que ça n’est pas toujours possible… vu leur vétusté, par manque d’investissement par leur propriétaire.

Pourtant, en plus des aides nationales, en 2020, Agglopolys avait réservé 857 000 ¤ pour aider les propriétaires à investir dans leur immeuble. Bilan 5 ans plus tard : seulement 8 % de cette enveloppe a été utilisée ! (Chiffres représentés par un graphique en anneau.) Une proportion bien plus faible que les incitations comparables dans les autres quartiers de la ville. En résumé, malgré les aides, de nombreux propriétaires du centre-ville n’ont pas profité de l’occasion pour faire des travaux, et de nombreuses enseignes ne peuvent donc pas s’installer.

Stéphanie Charret, directrice du Commerce à la mairie de Blois. (Elle se tient devant l’entrée fleurie du quartier des arts.)

Aujourd’hui, le cahier des charges est très clair pour ces enseignes : il faut des cellules qui soient prêtes à l’emploi. Le rez-de-chaussée est peut-être correct visuellement parlant, mais en fait, il suffit d’aller dans les réserves, dans les espaces de stockage, dans les étages, pour se rendre compte, en fait, que la vie, qu’elle soit économique ou autre, y est totalement impossible. (…) Aujourd’hui, effectivement, les immeubles doivent faire l’objet d’importants travaux et il est en tout cas inimaginable, ça c’est une certitude, que demain on puisse relouer ce commerce en l’état.

Voix off.

En résumé : un local vide ne signifie pas forcément un local disponible. Si le propriétaire privé n’a pas fait le nécessaire, le local ne peut pas être loué.

Cette réalité, c’est la raison pour laquelle on distingue deux taux de vacance. Dans la rue du Commerce par exemple, Il peut y avoir 20 % de vacance visible, celle que l’on remarque en passant devant, mais il y a en fait 10 % de vacance réelle, quand on prend en compte ce qui peut vraiment être loué à un commerce. (Chiffres représentés par un graphique en anneau.)

Un autre problème se pose : l’accès aux étages.

Même quand les immeubles sont en bon état, ils n’ont pas tous un accès direct aux étages, indépendant de la boutique. (Photo d’une porte entre deux boutiques, donnant un accès indépendant aux étages.) Concrètement, il n’y a pas d’autre entrée au rez-de-chaussée que celle du local commercial. Donc quand le commerce est fermé en fin de journée, c’est en fait tout l’immeuble qui ferme en même temps. (Vidéo d’une commerçante fermant son rideau métallique.) Conséquence : les étages de ces immeubles ne peuvent pas être utilisés comme logements.

Et faute de pouvoir louer les étages séparément à des particuliers, certains propriétaires louent donc leur immeuble en un seul lot, de la cave au grenier… (illustration d’un immeuble où les étages sont entourés par un trait rouge séparément, puis où tout l'immeuble est entouré par un trait rouge), faisant grimper le loyer à un montant totalement inabordable pour un commerce en rez-de-chaussée. Certains immeubles étaient ainsi loués jusqu’à 7 000 ¤ mensuels pour 100… 200 mètres carrés maximum réellement utilisés au rez-de chaussée. (Illustration d’un ticket de caisse listant le rez-de-chaussée (local commercial) et les étages 1 à 3 (inutilisés) et le total.) Peu de commerces peuvent suivre de tels montants sans mettre la clé sous la porte.

En résumé : certains immeubles privés sont inadaptés, d’autres sont mal entretenus voire insalubres (avec des conséquences pour les commerces en rez-de-chaussée), et une grande partie des immeubles cumule même les 2 problématiques. (Illustration de 5 immeubles. Les 2 à chaque extrémité ont une étiquette « bon état ». Les 3 autres ont une étiquette « inadapté », « mal entretenu » et « inadapté + mal entretenu ».)

Les expertises et les diagnostics indépendants commandés par la Ville ne concluent pas que des immeubles risquent de s’effondrer, mais ils confirment que beaucoup sont vétustes, dégradés, voire très dégradés.

Stéphanie Charret, directrice du Commerce à la mairie de Blois. (Elle se tient devant l’entrée fleurie du quartier des arts.)

Ce qui est vraiment pour nous parfois frustrant, c’est que la rue du Commerce reste la rue la plus demandée, la plus plébiscitée. Et c’est normal parce qu’historiquement le commerce est associé à cette rue et c’est tout naturel.

Voix off.

Dans ce quartier, les parcelles datent souvent de la Renaissance, voire du Moyen-Âge. De nombreux immeubles et arrières d’immeubles sont presque aussi anciens. Ils ont été conçus en fonction de leur époque. Moins ils sont entretenus et adaptés par leurs propriétaires privés au fil des ans, moins ils correspondent aux enjeux et aux besoins de notre époque, notamment l’accessibilité, la végétalisation et la population en augmentation. (Des plans de coupe illustrent ces trois thèmes, avec un ascenseur pour l’accessibilité, des arbustes dans un petit jardin pour la végétalisation, et une vidéo accélérée du public sur la place Louis-12.)

En résumé, le commerce en centre-ville, à Blois comme dans le reste de la France, est affecté par de nombreux problèmes : l’inflation mondiale, l’austérité, mais aussi des immeubles inadaptés, en manque d’investissement de la part de propriétaires, loués trop chers… Résultat : des locaux vides. Vides… mais minoritaires. Pour rappel, à Blois, le taux de vacance est de 11,9 %.

Mais 11,9 %, ça reste trop. Alors pour ces locaux vides, des solutions existent. Certaines peuvent être mises en place par les Villes et les Agglomérations. À Blois, c’est ce qui se passe. Dans cette seconde partie, on va donc faire le tour des solutions.

(Le chiffre 2 apparaît en grand à l’écran.)

D’abord, sur les immeubles dégradés ou inadaptés : on a vu que certains propriétaires ne cherchaient pas à les rénover, malgré les aides financières. D’autres moyens d’actions vont donc être mis en ½uvre.

Marc Gricourt, maire de Blois. (Sous un arbre de la place au croisement de la rue du Commerce et des Orfèvres.)

Les mesures incitatives, eh bien, n’ont pas donné de résultats. Donc on passe à quelque chose aujourd’hui de plus contraignant, de plus exigeant avec, on va dire, quasiment une obligation pour les propriétaires d’intervenir sur leur propriété, de pouvoir faire des travaux qui vont permettre de résoudre cette problématique d’insalubrité.

Voix off.

Ce dispositif plus contraignant, c’est celui de l’ORI, pour « opération de restauration immobilière ».

Jérôme Boujot, maire adjoint à la ville durable. (Il marche lentement place du Marché au beurre.)

C’est un dispositif qui va contraindre les propriétaires qui n’agissent pas. C’est à dire qu’aujourd’hui les collectivités ont délibéré en donnant des adresses précises sur des bâtiments qui sont donc identifiés. Et ces bâtiments, si jamais les propriétaires qui ont été informés de la démarche n’interviennent pas sur leur patrimoine, on va pouvoir les exproprier. L’Agglomération va devenir propriétaire du bien et pourra ensuite soit le revendre à un porteur de projet, soit réaliser elle-même les travaux pour ensuite revendre le bâtiment à un nouveau propriétaire qui, lui, entretiendra son patrimoine.

Voix off.

De nombreux immeubles du centre-ville sont concernés. En fonction de différents critères, l’Agglomération et la Ville de Blois ont identifié une première série de 7 immeubles. Pourquoi 7 ?

Jérôme Boujot, maire adjoint à la ville durable. (Il marche toujours lentement place du Marché au beurre.)

Parce que c’est d’abord des bâtiments dans lesquels on a pu entrer. On n’a pas pu entrer dans tous les bâtiments. Ce sont des bâtiments… je rappelle que ce sont des propriétés privées. Donc 7 bâtiments dans lesquels on a pu entrer et 7 bâtiments dans lesquels on va notifier aux propriétaires qu’ils devront réaliser les travaux dans un certain délai évidemment.

Voix off.

Et pourquoi pas davantage d’immeubles ?

Jérôme Boujot, maire adjoint à la ville durable. (Il marche toujours lentement place du Marché au beurre.)

La collectivité a ses obligations financières. Il est impossible de tout acheter. C’est pour ça qu’il faut d’abord s’appuyer sur le propriétaire. La compétence d’une collectivité, ce n’est pas de gérer un immeuble, de gérer des loyers, que ce soit des baux commerciaux ou des baux d’habitation.

L’objectif, c’est bien celui-ci pour faire revenir des habitants en centre-ville, sur cet axe, notamment de la rue du Commerce où aujourd’hui on est en déficit d’habitants.

Voix off.

C’est important car avec 3 000 âmes, l’hyper-centre-ville est actuellement le quartier le moins peuplé de Blois ! Plusieurs opérations ont eu lieu, sont en cours ou sont prévues pour proposer de nouveaux logements rénovés dans le quartier, notamment : une cinquantaine rue Gallois, 22 rue de Lattre de Tassiny, 111 prévus dans l’Hôtel-Dieu et 39 rue Denis-Papin. (Carte satellite avec un point pour chaque projet, le nom de la rue et le nombre de logements.)

Double avantage : les commerces peuvent se réinstaller au rez-de-chaussée, mais les étages peuvent aussi de nouveau accueillir des habitantes et habitants. (Vidéo d’une commerçante dépliant une chaise devant sa vitrine, et de deux personnes emménageant dans un appartement.)

Jérôme Boujot, maire adjoint à la ville durable. (Il marche toujours lentement place du Marché au beurre.)

Si on doit comparer des rues à Blois, la rue du Commerce, la rue Porte-Chartraine, l’avenue Wilson… on se rend compte qu’il y a un décalage en termes d’habitants. Dans cette rue du Commerce, malheureusement, il y a très peu d’habitants aux étages. Et c’est aussi là qu’on a des commerces qui sont en souffrance. Dans d’autres rues, la rue Porte-Chartraine. On a des habitants aux étages. Sur l’avenue Wilson, on a des habitants aux étages. Sur la rue Porte-Côté, on a des habitants aussi aux étages (plans de coupe avec une vidéo pour chacune des rues) et on se rend compte que dans ces rues là, la dynamique économique, elle, est moins fragile que sur la rue du Commerce.

Voix off.

À côté du problème de logement, la Ville met en place d’autres solutions pour accompagner la dynamique économique : notamment avec un accompagnement complet des commerces dans leur projet.

Stéphanie Charret, directrice du Commerce à la mairie de Blois. (Elle se tient devant l’entrée fleurie du quartier des arts.)

À leur demande, on les reçoit pour gérer leurs différentes problématiques et besoins, mais également l’objectif de la direction étant d’accompagner les porteurs et porteuses de projets. On en accompagne plus de 70 à l’année dans le cadre de reprise d’activité ou de création de nouveaux magasins. Notre accompagnement, c’est vraiment de les aider sur un volet vraiment purement administratif. Par exemple l’installation d’une enseigne, la réalisation de travaux au sein du commerce, l’obtention d’une licence débit de boissons… En tout cas, les problématiques sont très larges, avec des interlocuteurs très importants, très variés. Et effectivement, le but c’est de faciliter ce maillage avec tous les interlocuteurs et de les orienter vers les bonnes personnes, mais aussi nos partenaires économiques pour par exemple, l’obtention de prêts d’honneur. Voilà des choses qui vont faire que le projet va non seulement exister, être créé, mais pas que, l’objectif étant également que le projet se pérennise.

Voix off.

La direction du Commerce de la Ville a aussi pour mission de démarcher des enseignes qui pourraient correspondre aux besoins blésois.

Et puis financièrement, plusieurs aides de l’Agglomération sont proposées : une pour aider à rénover les boutiques, et une pour aider au lancement.

Stéphanie Charret, directrice du Commerce à la mairie de Blois. (Elle se tient devant l’entrée fleurie du quartier des arts.)

Le bonus à l’installation : donc il s’agit d’une nouvelle aide économique à destination des porteurs de projets. Donc ce sont les porteurs de projets qui en sont les bénéficiaires. Cette nouvelle aide est complémentaire aux aides aux travaux déjà existantes et mises en application. La particularité du bonus à l’installation, c’est qu’elle va s’appliquer uniquement sur les commerces de centre ville, en tout cas là où la vacance commerciale est la plus présente. Justement, l’objectif du bonus, c’est créer un effet boost sur un c½ur de ville souvent plus touché par la vacance commerciale. Donc en permettant aux porteurs de projets d’avoir une aide financière, une enveloppe financière comprise entre 1000 et 3 000 ¤ qu’il va obtenir en contrepartie d’une négociation avec le propriétaire. Par exemple va être demandé au propriétaire d’offrir un mois de loyer minimum gratuit à son futur locataire. Pourquoi ? Parce qu’on le sait, dans le cadre de l’installation, un indépendant n’a pas de trésorerie, n’a pas encore effectivement fait rentrer le chiffre d’affaires. Et on veut lui permettre en fait tout simplement de s’installer dans les meilleures conditions.

Voix off.

Enfin, la Ville accompagne aussi l’association de commerçantes et commerçants, les « Vitrines de Blois », logistiquement et surtout financièrement, avec une augmentation en 2019, et un soutien maintenu depuis. Objectifs, notamment : faciliter le partage d’informations, la promotion des commerces auprès du public, ou encore l’organisation d’évènements, etc. (Vidéo d’une personne naviguant sur le site web de l’association puis un de leurs comptes sur les réseaux sociaux.)

Et parce qu’on sait qu’il ne suffit pas de rénover les immeubles et d’y accueillir de nouveaux commerces, il faut aussi s’intéresser au cadre de vie en général. C’est d’ailleurs par là que la Ville a commencé. Car contrairement aux immeubles qui sont des propriétés privées (et dont l’entretien est de la responsabilité de leurs propriétaires) l’espace public, lui, appartient à la commune.

Parce que c’est sa première responsabilité, cet espace public a donc été amélioré et réaménagé, progressivement. Objectif : un meilleur cadre de vie et, au passage, une mise en valeur des commerces. (Vidéos du parvis de la gare, puis d’un parcours accéléré du pont Jacques-Gabriel à la rue Porte-côté, puis d’un panorama de la place Rol-Tanguy, des bords de Loire aux commerces.

Autre thématique : le stationnement et les déplacements. (Vidéo aérienne d’un immense parking automobile.) Parmi les idées reçues, il y a celle qu’il suffirait de créer davantage de places de stationnement et de les rendre gratuites, pour que les commerces de centre-ville en France aillent mieux. On l’a vu, il y a plein d’autres raisons qui font que les centres-villes français sont en difficulté aujourd’hui. Mais qu’en est-il au final ?

Jérôme Boujot, maire adjoint à la ville durable. (Il marche toujours lentement place du Marché au beurre.)

Alors il faut bien effectivement dissocier deux choses. Est ce qu’il n’y a pas assez de stationnement ? Ça c’est faux puisque l’offre de stationnement, c’est plusieurs milliers de places à Blois, donc l’offre de stationnement, elle existe.

Voix off.

En effet, les statistiques d’affluence le montrent, il y a toujours des places libres à Blois, toute l’année, dans les parcs souterrains. (Zoom sur des panneaux d’orientation indiquent des parkings sur l'espace public avec 92 et 249 places disponibles sur un écran à côté de chacun.)

Jérôme Boujot, maire adjoint à la ville durable. (Il marche toujours lentement place du Marché au beurre.)

La question en réalité qui est posée, c’est le stationnement gratuit. Certains évoquent le fait plutôt qu’il n’y a pas assez de stationnement gratuit et parce qu’il n’y a pas assez de stationnement gratuit en ville, ça n’incite pas à venir en ville et donc ça incite plutôt à aller en périphérie, dans les commerces de périphérie parce que dans les commerces de périphérie, là, le stationnement est gratuit. Mais de quoi est ce qu’on parle ? Quand vous venez en ville, que ce soit la semaine ou que ce soit le samedi, notamment le samedi après-midi, vous pouvez bénéficier de tarification gratuite.

Vous avez la première heure qui est gratuite tous les jours de la semaine et vous avez le samedi après-midi sur les périodes où potentiellement, on vient davantage déambuler, flâner, profiter des commerces et on a plus le temps, on a 2 h de stationnement gratuites dans les parkings souterrains. Suffit juste de demander au commerçant un ticket, et ce ticket, c’est une contremarque qui permet de stationner gratuitement 2 h dans les parkings souterrains. (Le ticket apparaît à l’écran.)

Donc c’est possible de se garer à Blois, il y a des milliers de places. Et c’est possible de se garer gratuitement. Et ça dans l’hyper centre ville.

Voix off.

Ces solutions pour le stationnement complètent le transport en commun, avec 2 navettes gratuites ; des abonnements de transports en commun avec des petits prix, solidaires voire gratuits ; tout le réseau cyclable en cours d’aménagement, ou encore des garages à vélo. (Plan de coupe d’un bus, d’une navette, de la page web Azalys des abonnements solidaires de 3 à 15 ¤ par mois, de la carte des 3 lignes du réseau cyclable et d'une personne rentrant son vélo dans un garage à vélo.)

Et puis, une fois dans le centre-ville, il y a plein de choses à faire en parallèle des commerces, notamment se balader dans un patrimoine exceptionnel, classé à l’Unesco.(Plan de coupe vidéo des jardins de la ville et des personnes s'y attardant.)

Marc Gricourt, maire de Blois. (Sous un arbre de la place au croisement de la rue du Commerce et des Orfèvres.)

Le château, qui est la première locomotive d’attractivité touristique et culturelle. Nous avons des musées, des sites uniques comme la Maison de la Magie, comme la Fondation sur l’art contemporain, bref… la Maison de la bande dessinée… Nous avons cette richesse d’offre culturelle et touristique qui est une réalité, et qui fait venir des milliers de touristes chaque année, pas seulement, d’ailleurs sur la période estivale. (Plans de coupe vidéo des différents lieux évoqués.)

Voix off.

À Blois, il y a par exemple les festivals Des Lyres d’été, Des Lyres d’hiver, et d’autres organisés par des associations.

Marc Gricourt, maire de Blois. (Sous un arbre de la place au croisement de la rue du Commerce et des Orfèvres.)

Le festival d’histoire qui est unique en France, qui rassemble 50 à 55 000 festivaliers chaque année sur quatre jours, qui est un élément de dynamisation très fort de l’activité économique, pour l’hôtellerie, pour la restauration, pour l’hébergement en général, mais aussi pour nos commerçants qui nous font ce retour positif sur ce temps de festival. Et puis, un peu plus tard, fin novembre, le festival de bande dessinée, donc avec là aussi un public très large qui vient profiter de ce festival autour de la bande dessinée, mais qui profite aussi de ce que peut offrir notre ville en termes de patrimoine, de culture, mais aussi d’offres commerciales en centre-ville. (Plans de coupe avec des vidéos illustrant la foule présente à ces festivals, dans les rues et dans les lieux culturels de la ville.)

Voix off.

Cela se traduit en chiffres : 500 000 visiteuses et visiteurs entrent chaque année dans les sites culturels de la Ville, l’occasion de croiser les cultures du monde entier. (Plan de coupe avec une vidéo de personnes en file d’attente devant le Château royal, puis vidéo aérienne au-dessus de la Loire en direction du c½ur de ville.)

On l’a vu, les centres-villes font face à de nombreux problèmes, loin d’être tous localisés. Il y a aussi plein de solutions pour qu’ils continuent à vivre :

  • contrainte des propriétaires récalcitrants ;
  • aides financières ;
  • accompagnement des commerces ;
  • réaménagement et amélioration de l’espace public ;
  • animations sportives et culturelles ;
  • stationnement facile et parmi les moins chers, etc.

Et chacune et chacun a aussi un rôle à jouer, notamment :

  • en profitant des commerces de proximité… autant que possible ;
  • en profitant des transports en commun, des infrastructures cyclables et des heures gratuites de stationnement ;
  • etc.

Mais Blois cherche aussi des partenaires spécialisés…

Marc Gricourt, maire de Blois. (Sous un arbre de la place au croisement de la rue du Commerce et des Orfèvres.)

C’est un appel évidemment de prise de responsabilité, déjà des propriétaires. Et ensuite, si des investisseurs locaux ou hors de nos frontières départementales souhaitent investir, bien sûr qu’ils viennent ici. Nos services les accompagneront pour voir ce qu’est la réalité de notre centre-ville, la réalité de ces immeubles concernés et possiblement donc d’espérer de leur part un investissement.

Voix off.

Donc pour tout projet d’implantation de commerce, contactez notre direction du Commerce ; et pour tout projet d’acquisition-rénovation d’immeuble, contactez la direction de l’Urbanisme. (Texte à l’image : vous avez un projet ? blois point f r, barre oblique, contact.)

Et si vous avez une question à laquelle ce reportage n’a pas répondu… posez-la en commentaire ! (Vidéo aérienne du pont Jacques-Gabriel à la tombée de la nuit, sa flèche illuminée.)

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Coups de c½ur

19/08/2025

Livres, films, visites… voici nos coups de c½ur culturels de septembre 2025. Une personne assistant à un concert forme un c½ur avec ses doigts.

Album : Animaru
de Mei Semones

Coup de c½ur du Chato’do.

La compositrice et chanteuse New Yorkaise de 24 ans nous offre un premier album enthousiasmant qui mêle subtilement bossa nova, rock indé et J-pop et sur lequel elle chante en anglais et en japonais. Sa virtuosité à la guitare n’éclipse en rien le talent de ses musiciens (deux violonistes, un bassiste et un batteur). Elle est en concert à Paris en cette rentrée. À écouter en priorité : I Can Do What I Want qui prône le rejet de la conformité et sonne comme un générique d’animé ainsi qu’Animaru qui nous invite à retrouver notre instinct animal.

Sorti en mai 2025.

Livre : Demain et demain et demain
de Gabrielle Zevin

Coup de c½ur des bibliothèques de Blois–Agglopolys.

C’est l’été, si on changeait d’horizon ? Plongez à la découverte de Sam et Sadie, deux ados qui se rencontrent sur fond d’hôpital et de jeux vidéo. Nous sommes dans les années 1980 et leur relation va se poursuivre tout au long de leur vie adulte. Pas besoin d’être geek pour être happé par la confrontation avec le génie créatif, le succès, l’amitié, la jalousie, l’échec, le drame, l’amour jour après jour après jour… Un roman singulier et attachant sur l’étoffe moderne de nos vies.

Aux éditions Fleuve.

Jeu : Zero

Coup de c½ur des ludothèques de Blois. Jeu de Pixie Games. Dès 8 ans.

L'objectif est simple, marquer un minimum de points en essayant d'atteindre la combinaison suprême : ZERO. Débutez la manche avec 9 cartes. Échangez des cartes de votre main avec celles du centre de la table ou passez. Tentez d’avoir 5 cartes du même chiffre et 5 cartes de la même couleur pour faire ZERO !

Jeu disponible dans les ludothèques de Blois : Espace Rosa-Parks et Espace Mirabeau.

Éducation : une ville à hauteur d’enfants

19/08/2025

4 647 écolières et écoliers font leur rentrée dans la trentaine d’écoles maternelles et élémentaires de Blois. Tout au long de l’année, la Ville soutient les équipes pédagogiques pour offrir un quotidien apaisé aux enfants. Et cela a même commencé dès cet été ! Des enfants assis dans la salle du conseil municipal pour une réunion plénière du conseil des enfants.

Pendant les mois de juillet et d’août, les portes des écoles de Blois ne sont pas restées fermées pour tout le monde.

Si les jeunes occupants habituels ont pris le temps de se reposer durant l’été, d’autres - un peu plus âgés s’y sont montrés très actifs. Objectif : entretenir et rénover quelques-unes des 33 écoles maternelles et élémentaires dont la Ville de Blois est propriétaire. Depuis 2020, 3 millions d’euros ont déjà été engagés dans la rénovation énergétique des bâtiments et l’isolation, avec pour effets des températures moins étouffantes (pour les écoles déjà rénovées) lors de l’épisode caniculaire fin juin début juillet.

D’autres actions se sont concrétisées cet été concernant huit écoles, avec des travaux d’électricité et d’éclairage pour six d’entre elles. Des changements d’huisserie et de sol ont été effectués à l’école Joséphine-Marchais (244 000 ¤), de même qu’une pose de nouveaux rideaux - pour un coût de 10 000 ¤ à Pauline-Kergomard. Les accueils de loisirs périscolaires n’ont pas été oubliés, à commencer par celui du groupe scolaire Lucie-Aubrac (peintures, changements de sol, etc.) représentant un coût de 21 000 ¤.

Au soutien des familles

L’éducation est notre priorité, énonce Benjamin Vételé, adjoint à la Ville éducatrice et à la politique de la Ville. Son fil rouge : lutter contre les injustices et inégalités sociales. C’est ainsi que, lors de cette rentrée encore, les fournitures scolaires pour les écoles élémentaires sont en grande partie financées par la Ville. Et ce afin de rendre la facture moins salée pour les familles, qui ont dû faire face, cet été, à une hausse moyenne de 2 % des prix pratiqués pour équiper éveiller leurs leurs enfants (source : UFC Que choisir). Pour résumer, hormis intérêts et leur les cartables, les trousses et éventuellement l’agenda, toutes les autres fournitures sont prises en charge par la donner goût au dépassement de soi Ville, pour un montant global de 200 000 ¤.

Autre bonne nouvelle : certains tarifs de la restauration scolaire sont revus à la baisse en ce mois de septembre. L’an dernier, il y a eu des points de crispation sur le sujet, convient Benjamin Vételé. Nous avons ainsi retravaillé la grille tarifaire en introduisant des paliers intermédiaires au sein de la plus haute tranche. Le repas d’un enfant coûte en moyenne 12 ¤, mais pour les familles, il est facturé entre 0,31 et 5,95 ¤. Pour ce prix, les petits Blésois et les petites Blésoises ont droit à une alimentation composée à moitié de produits bio et provenant entre autres de 31 fournisseurs locaux, réalisée par les équipes de la société publique locale « Restauration du Blaisois ». Pour rappel, la Ville a souhaité, en janvier 2024, reprendre en gestion publique la restauration scolaire. Avec d’autres partenaires publics, la société publique locale a été créée afin de maîtriser au mieux les coûts des repas pour les familles, les menus et les approvisionnements auprès de producteurs locaux.

Éducation et « émancipation »

Si l’école est évidemment le lieu où l’on enseigne les savoirs fondamentaux, elle doit aussi participer à l’émancipation des enfants, rappelle Benjamin Vételé. Une enveloppe de 193 000 ¤ est ainsi allouée par la municipalité pour financer des projets éducatifs ou des sorties scolaires organisées par les équipes pédagogiques. L’an dernier, une classe de mer, une initiation aux arts du cirque, la création d’un podcast et d’une émission de radio, la visite de châteaux ou encore une sortie à Paris ont été financées par cette « dotation générale éducative ». Elle est le symbole de la confiance que nous avons envers le monde enseignant qui ½uvre dans nos écoles. Des équipes qui se sont d’ailleurs vues remettre un livret sur les ressources pédagogiques qu'elles ont à disposition à travers les équipements de la Ville. Château royal, Maison de la bd, médiathèque Maurice-Genevoix, patinoire, etc.

Les enseignantes et enseignants disposent à Blois d’un matériau riche et varié pour ouvrir les esprits de leurs élèves, éveiller leurs intérêts et leur donner goût au dépassement de soi. C’est dans cette même optique que la Ville a choisi de s’adapter au rythme de certains enfants en mettant en place des classes à horaires aménagés (CHA). 367 élèves, issu·es de la plupart des collèges et d’une école primaire, en profiteront de nouveau cette année. Les élèves des CHA sport vont s’entraîner deux fois par semaine dans les gymnases de la Ville où les accueillent les clubs partenaires*. La Ville coordonne le dispositif et finance les déplacements par la mise à disposition de cars et de chauffeurs. Les collèges, de leur côté, adaptent les horaires pour faire sortir les enfants qui participent à 16 h, une fois par semaine. Les enfants des CHA « musique »** vont bénéficier de 2 h 45 et 4 h d’éducation musicale sur leur temps scolaire.

Nous souhaitons, à notre échelle, construire un monde où l’enfant se sente mieux pris en compte, où il puisse prendre un peu plus de temps pour souffler et respirer, illustre Benjamin Vételé.

À Blois, la rentrée, c’est classe !

  • * Les élèves intéressés doivent être inscrit·es dans un établissement faisant partie du dispositif (Augustin-Thierry, Bégon, Sainte-Marie, Brottier, Vienne, Saint-Charles). Toutes et tous candidatent à leur entrée en 6e et doivent être licencié·es dans leur club.
  • ** Les inscriptions se font directement auprès des établissements concernés (Marguerite-Audoux et Les Provinces). Pour l’école primaire, des entretiens ont lieu pour connaître la motivation et l’appétence à la musique.

Molière chante oasis

Une nouvelle « cour oasis » a été aménagée cet été à l’école élémentaire Molière afin d’amener plus de fraîcheur en végétalisant et rendant les sols plus perméables. Auparavant bitumée (à hauteur de 73 % de sa surface contre 13 % aujourd'hui), la cour laisse donc place à une aire de jeux apaisée. Pergola végétale, city stade en enrobé drainant, allées de déambulation en calcaire fin, buttes naturelles entourant les zones de jeu, cabanes en chaux et chanvre, espace protégé concentrant les eaux de pluie… Cette cour oasis devrait donner sa pleine mesure, en terme de végétalisation, d’ici à 5 ans. Mais au printemps prochain, la métamorphose sera déjà bien visible ! Ce projet d’un budget de 355 000 ¤ est financé par la Ville et l’État.

Une belle réussite

À Blois, un accompagnement des enfants, des ados (2-16 ans) et des parents est effectué en dehors du temps scolaire dans les quartiers Nord (Coty-Kennedy, Croix-Chevalier), Cornillettes et Quinière. Environ 250 Blésoises et Blésois bénéficient de ce dispositif « projet de réussite éducative » (PRE) qui permet à 4 personnes référentes, un coordinateur et une équipe de vacataires d’organiser des parcours individualisés ponctués par des rendez-vous et des ateliers divers (culture, sport, socialisation, santé, parentalité, etc.) pour leur permettre de mieux suivre et de réussir en classe.

Parole aux enfants

L’an dernier, la Ville de Blois a innové en instituant le premier Conseil des enfants. Constitué de 42 jeunes conseillères et conseillers et 42 suppléantes et suppléants issus de 22 écoles, il a été pensé dans l’idée de construire, dans les années qui viennent, « une ville à hauteur d’enfants ». Et donner la parole à ces derniers s’avère être le plus court moyen de s’en assurer !

Des écolières et écoliers de CM1 et CM2 ont ainsi pu livrer aux élus municipaux leur avis sur des sujets qui n’avaient pas seulement trait à la vie scolaire : ils ont par exemple travaillé sur l’accessibilité de la ville pour les personnes porteuses de handicap.

Ce conseil des enfants sera renouvelé pour moitié cette année. Des élections auront lieu en octobre dans les classes de CM1 de 2025-2026. Cinq temps forts sont programmés autour de réunions sur les thèmes de l'environnement, du vivre ensemble et de la citoyenneté - solidarité.

L’École à 2 ans

Quelques pitchounes blésoises et blésois font ce mois-ci leur rentrée alors qu’ils sont seulement dans leur deuxième année. Blois serait-elle un repaire de petits génies ?

Il s’agit, en fait, d’une initiative commune entre l’Éducation nationale et la Ville pour permettre à quelques enfants d’accéder plus tôt au milieu scolaire. Cela peut permettre de gommer certaines inégalités sociales, explique Benjamin Vételé. Un travail de repérage a été fait en amont par des professionnel·les de la petite enfance pour offrir la possibilité à 15 écolières et écoliers d’intégrer cette année ces deux classes « Toute petite section » dans les écoles Jean-Perrin et Baptiste-Marcet.

Une question à : Benjamin Vételé
maire adjoint à la ville éducatrice

Pourquoi l’éducation à Blois, c’est si important ?

Parce que, dans un monde en crise et en mutation, agir pour l’éducation, c’est investir dans l’avenir. Nous le faisons en rénovant ou en construisant des équipements pour permettre aux enfants de Blois de grandir et d’évoluer dans un environnement propice à leur développement et qui réponde aussi aux enjeux de la transition. En outre, notre projet éducatif vise à donner à toutes et tous, dès le plus jeune âge, les clés pour accéder à la culture ou au sport, en favorisant l’échange, l’intégration et la mixité sociale. Ce sont ces valeurs que nous réaffirmons en cette rentrée 2025, que je souhaite sereine, fructueuse et pleine d’espoirs à nos élèves et à leurs parents !

Retour mensuel sur les travaux récents

19/08/2025

Retrouvez les nouveautés sur l’espace public ces derniers mois. Des ouvriers travaillent sur le nouveau revêtement de la chaussée du Pont Jacques-Gabriel.

Mise à jour de septembre 2025

De nouveaux bancs place Chanoine-Tournesac

Connaissez-vous la place Chanoine-Tournesac ? C’est cette placette située au croisement de la rue d’Artois et de la rue du Bourg-neuf sur laquelle veille la Fée clochette de Régis Loisel. En parallèle du réaménagement de la rue du Bourg-neuf, la Ville a aussi pris soin de cet espace : le massif de plantation a été agrandi avec des vivaces résistantes à la sécheresse (santolines, acanthes, scabieuses, sauges et valérianes).

Des arbustes ont été ajoutés ainsi qu’un nouvel arbre (mûrier blanc). La Ville a également dessiné de nouvelles assises en bois installées fin juin et entourant le mûrier central. Il s’agit de grumes de chênes qui viennent de la forêt de Blois. Des appuis vélo viennent compléter l’aménagement.

Un pigeonnier contraceptif en c½ur de ville

Le 10 juin dernier, la Ville de Blois a installé à titre expérimental un pigeonnier contraceptif, parking Saint‑Honoré. Son objectif est de réguler de manière douce la population de pigeons en c½ur de ville.

Deux nouveaux sites pour stationner vos vélos

Deux parcs à vélos sécurisés ont été installés par Agglopolys pour encourager la mobilité douce :

  • 20 places sur le parking de la Halle aux grains, accessibles à la journée ;
  • et 84 places à la gare sous la rotonde de la passerelle,

… pour la journée (1 ¤), au mois (8 ¤), au trimestre (15 ¤) ou à l’année (40 ¤) avec l’application Parc vélo Azalys ou la carte JVMalin.

Renseignements : azalys.agglopolys.fr

Mise à jour pour avril 2025

Jardins de l’évêché : des entourages pour protéger les marronniers

Dans le cadre de l’aménagement urbain et de la préservation du patrimoine végétal, les 27 marronniers des terrasses de l’évêché ont été équipés d’entourages en acier corten. Ce matériau, connu pour ses teintes évolutives allant de l’ocre au rouille, forme une patine naturelle qui le protège de la corrosion. En plus d’apporter une touche esthétique, ces entourages facilitent l’entretien des pieds d’arbres. Un chantier porté par les services de la Ville qui contribue à renforcer la qualité de notre paysage.

De nouveaux potelets autour de l’église Saint-Nicolas

Dans le cadre des travaux de restauration de l’église Saint-Nicolas, qui s’achèveront en fin d’année, les services de la Ville sont intervenus pour assurer la remise en état du parvis. Ils ont procédé à la repose des potelets bordant l’église et la rue Saint-Laumer. Ils ont également pris en charge la repose des pavés.

Et aussi…

La Ville a procédé à de nouveaux aménagements boulevard Eugène-Riffault fin 2024. Les cerisiers fleurs précédemment plantés étaient atteints de champignons qui ont entraîné leur dépérissement. En lieu et place de ces arbres, la Ville a :

  • repris l’ensemble de l’espace pour désimperméabiliser davantage le site ;
  • créer des bordures engazonnées ;
  • replanter en pied d’arbres :
    • 4 arbres (chênes, tilleul et charme-houblon)
    • des arbustes
    • des plantes vivaces (romarin, achillée, valériane et erigeron).

Les espaces de stationnement automobile ont été conservés. Le trottoir a également été rénové pour un meilleur confort des usagères et usagers.

Mise à jour de novembre 2024

Poursuite des travaux de voirie rue Croix-boissée

Les travaux de la troisième section de la rue Croix-boissée (entre les rues René-Guenon et Cobaudière) se sont terminés fin octobre. L’ensemble de la chaussée a été repris, dans cette rue révélée comme prioritaire dans le diagnostic de voirie effectué précédemment.

Pour compléter les travaux, l’hydrodécapage de la chaussée est prévu du 2 au 6 décembre 2024. Pendant ce moment, la rue sera barrée et le stationnement interdit. Un revêtement clair sera posé au printemps prochain pour limiter les îlots de chaleur.

Le rond-point Médicis est achevé

Les travaux de voirie se sont terminés en octobre. Le marquage des traversées cyclistes a été réalisé, permettant aux équipes de passer à la dernière étape du projet : la végétalisation, sans impact spécifique sur la circulation.

Et aussi…

Mise à jour de septembre 2024

Des travaux d’amélioration de la voirie

En cette fin d’été, la Ville a engagé la réfection de plusieurs rues. Un total de 8 600 m² sera traité pour améliorer le cadre de vie. Au programme :

  • les rues Pégoud, Vasco-de-Gama et Étienne-Baudet dans le quartier nord ;
  • les rues Richelieu et Henri-Daudin dans le quartier Ouest ;
  • les rues de la Belle jardinière et du Puits neuf au sud ;
  • et les rues de la Vallée aux b½ufs et du docteur-Blanchon à l’est.

Budget total de ces multiples chantiers : 150 000 ¤ financés par la Ville.

Gare : le nouveau parking opérationnel à la rentrée

Après plusieurs mois de travaux, le nouveau parking ouvrira ses portes à la rentrée. Situé à droite de la rotonde de la passerelle (côté parvis), il proposera :

  • 122 places dont 10 places pour véhicules électriques et 3 emplacements pour personnes à mobilité réduite ;
  • et un espace de dépose minute permettra de stationner pendant 15 minutes gratuitement.

Ce parking, géré par Effia, bénéficiera d’un revêtement en gravillons — un revêtement temporaire, puisqu’en fonction de la fréquentation, un parking en ouvrage (un étage) pourrait être créé.

L’ancien parking temporaire (derrière l’Insa) a donc fermé ses portes. Il laissera place à terme au futur restaurant universitaire, à une résidence étudiante d’une centaine de chambres ainsi qu’à un programme de 21 logements.

Mise à jour de mai 2024

Nord

Rue Montgolfier : les travaux réalisés en mars 2024 derrière le bâtiment ont permis de créer une noue, afin de récupérer les eaux pluviales déconnectées des gouttières. Cet espace réengazonné accueillera, à l’automne 2024, des arbres qui profiteront de l’eau récupérée dans la noue.

Ouest

Rue des Moriers : la Ville va réaliser courant mai 2024 la réfection de la voirie de la rue des Moriers entre la rue des Poutils et la RD952. Budget : 162 000 ¤. Ce chantier fait suite à une première tranche réalisée en 2020 entre la rue de l’Amiral-Querville et la rue des Poutils.

Centre

Centre-ville : afin de renforcer l’accessibilité du centre-ville, la Ville procède actuellement à la reprise des joints des pavés dans le secteur de la rue Anne-de-Bretagne. En fin d’année 2024, ce sera au tour de la rue des Orfèvres. Budget alloué (pour la section en cours) : 25 000 ¤.

Rue de la Garenne : afin de réguler la vitesse des véhicules, la Ville met en place un dos d’âne rue de la Garenne fin avril 2024. À la même occasion, afin de répondre à une demande des riveraines et riverains, la Ville réaménage la sortie de la rue Sainte-Catherine afin de mieux marquer la priorité à droite. Budget : 14 000 ¤.

Mise à jour de mars 2024

Sud

Cimetière Vienne : la Ville de Blois procède actuellement à la création d’une chaussée végétale au c½ur de l’allée centrale du cimetière Vienne. Ce projet s’inscrit dans le cadre de la poursuite de la végétalisation des cimetières. Les travaux devraient s’achever courant mars.

Centre

Église Saint-Nicolas : les travaux de restauration de l’église Saint-Nicolas se poursuivent. La 4e tranche démarre ce mois-ci pour une durée de 8 mois. Elle s’attachera à restaurer le clos et le couvert de la nef côté nord, les façades supérieures extérieures, la façade nord intérieure y compris le triforium ainsi que les vitraux. Budget alloué à cette tranche : 850 000 ¤ TTC (financés par la Ville, la Drac, la Fondation Sisley-d’Ornano et le conseil départemental).

Nord et Est

Rénovation des écoles : les travaux de rénovation de l’école maternelle Jean-Perrin et de l’école élémentaire Yvonne-Mardelle s’achèvent. Ils ont consisté en la réalisation de travaux d’isolation extérieure et de ventilation, de remplacement des me- nuiseries, d’électricité et de peinture ainsi que l’installation de volets roulants, stores et/ou brise soleil. Budget total : 1 655 000 ¤ (financé par la Ville, l’État, la Banque des territoires et la Fédération nationale des collectivités concédantes et régies).

Mise à jour de janvier-février 2024

Parvis de la gare

L’immeuble situé face au parvis de la gare a été livré en fin d’année 2023 pour permettre dans un premier temps aux exploitants de prendre possession des locaux avant une ouverture progressive au public. Le bâtiment comportera notamment des cellules commerciales, un hôtel-restaurant, une Maison des mobilités et des logements, dont des logements étudiants.

Mise en place d’une nouvelle fontaine

Une fontaine d'eau potable a été installée par la Ville à l'angle des rues du Commerce et des Trois clefs, permettant aux passants de se désaltérer.

(Novembre 2023)

Création d’un jardin du souvenir

Un jardin du souvenir et de cavurnes a été créé au sein du cimetière Blois–Ville, offrant ainsi un nouveau lieu de recueillement aux Blésois·es et la possibilité d’organiser des cérémonies pour disperser les cendres des personnes défuntes.

Et aussi…

Est

  • Rue Monin : les équipes du service Voirie de la Ville ont procédé à une reprise des bordures des trottoirs, rue Monin, à la hauteur de la basilique.
  • Rue François-Billoux : le service Voirie a installé des bornes au sol pour interdire le stationnement gênant des véhicules et faciliter la circulation piétonne.

Tous secteurs

  • La Ville procède régulièrement au remplacement des lanternes d'éclairage public en led. Les rues suivantes ont été traitées en novembre et décembre, ou le seront prochainement : rue des Juifs, des Trois Clefs, Haute, Pierre de Blois, place du Grenier à sel, passage Alain Pierre, rue du Bourg Saint-Jean, rue Foulerie, Grands Degrés Saint-Louis, cour des Miracles, rue Vauvert, rue du Mouton, impasse Saint-Jean, rue Fontaine des Élus, rue Porte-Bastille et rue Jehan de Saveuse, rues Fénelon, Édouard Branly (voir aussi page 29).
  • En novembre et décembre, la Ville a planté 76 arbres :
    • 30 arbres de remplacement rue de Weimar, place Coty, rue Fénelon, rue Bréguet, coulée verte de Villiersfins, parc de l’Arrou, allée des Pins, église des Grouëts, bande boisée Saint-Georges, cours d’écoles Tourville et Charcot, jardin des Lutins, etc. ;
    • 5 charmes boulevard Vauban afin de compléter l’alignement existant ;
    • 9 arbres aux abords du gymnase Moussa-Traoré ;
    • 2 arbres dans la cour de l’école élémentaire Quinière, 1 dans le secteur Duguay-Trouin ;
    • 12 arbres fruitiers place de la Laïcité ;
    • 7 grands arbres au square Victor-Hugo et 10 grands arbres rue du Bourg-neuf.

Le Blois badminton club repart plein d’énergie en 2025-2026

19/08/2025

Après une saison historique 2024-2025 (accessions en division supérieure pour l’ensemble des équipes, actions socio-sportives), le club entame sa rentrée sportive avec l’envie de rassembler et de performer. Portrait de l’équipe, en salle.

Créé en 1987, le Blois badminton club compte à ce jour plus de 170 adhérentes et adhérents de 6 à plus de 50 ans, avec une attention particulière dédiée aux jeunes. Nous proposons l'école de badminton, c’est-à-dire un encadrement particulier pour former les enfants à la pratique et les aider à performer un peu plus tard, comme je l’ai fait lorsque j’étais adolescente en classe à horaires aménagés précise Mélanie Petel, présidente du club. Pour ce faire, l’association compte deux salariés, tous deux entraîneurs diplômés avec la particularité, pour l’un d’entre eux, de mettre en place des actions socio-sportives. Autrement-dit, il intervient dans les écoles, les maisons de quartier ou auprès d’autres clubs du bassin blaisois pour faire découvrir le badminton et accompagner le développement de la pratique sportive, comme avec les rencontres « minibads » pour que les tout-petits appréhendent la compétition sans pression.

À travers le sport, les dirigeants du club souhaitent propager des valeurs qui leur sont chères : le fair-play, la cohésion de groupe, le respect, le courage et le dépassement de soi.

Des vertus qui rassurent et permettent l’épanouissement des adhérentes et d’adhérents, qui ont été particulièrement performants l’année dernière ! Nous avons vécu une année forte en émotions puisque toutes nos équipes ont accédé à la division supérieure explique la présidente. Ainsi une équipe est passée du stade départemental au régional, celle qui était en régional 2 passe en régional 1 et quant à son équipe première, elle joue désormais en national 2 (deuxième division française) !

Un exploit, qui place le badminton comme le 2e sport de Blois évoluant à ce niveau après le basket. D’ailleurs, la ville accueillera de nombreux matchs nationaux et régionaux à partir de la rentrée. Ce succès, qui renforce la cohésion au sein des adhérentes et adhérents, les motive d’autant plus à transpirer et à accueillir de nouvelles personnes !

Renseignements

Retrouvez le club lors de la fête du Sport, samedi 6 septembre 2025 !

Avec votre Pass Blois culture ce mois-ci

19/08/2025

Pour septembre 2025

Pratiques artistiques, bien-être et langues vivantes avec la Maison de Bégon

Dès la rentrée, la Maison de Bégon vous propose un large choix de pratiques artistiques, cours de langues et de bien-être : danses, théâtre, arts plastiques, guitare, oud, batucada, cours de langues, Pilates, gymnastique… il y en a pour tous les goûts et pour tous les âges.

Jusqu’au 26 septembre, profitez d’une remise de 10 % pour toute inscription ! Il est de plus possible d’essayer les cours du 15 au 26 septembre.

Participer à ces pratiques, c’est aussi la possibilité de s’engager dans les nombreux projets de la Maison de Bégon.

Qu’est-ce que le Pass et comment en profiter ?

Le Pass Blois culture permet aux Blésoises et aux Blésois d’accéder gratuitement et à volonté au Château royal, à la Maison de la magie, au Centre de la Résistance ou encore à la Fondation du doute et au Muséum. Il offre aussi des avantages tarifaires chez ses partenaires et vous donne accès à des offres découvertes. Profitez-en !

En savoir plus sur le Pass Blois culture…

Le Pass : accès à la culture pour toutes et tous à Blois

Demandez votre Pass

  1. Munissez-vous d’un justificatif de domicile de moins de trois mois ;
  2. puis, soit :